Il y a quelques mois, j'ai avoué à ma femme Nadia mon adoration pour le BDSM et notamment la domination féminine et la féminisation. Celle-ci curieuse mais peu à l'aise avec ceci accepta quand même
de tester et de se mettre dans la peau d'une dominatrice. Pour l’aider, je lui offris tout son "petit matériel" : plug, menottes, fouet, laisse, liens, et même un magnifique gode ceinture dont
j'attendais avec impatience sa première utilisation. L'idée de sucer la grosse bite de plastique de ma femme en imaginant que ça soit une vraie et ensuite, me la prendre violemment dans les fesses,
pendant qu'elle me crache dessus en me traitant de petite pute aimant porter ses fringues, me faisait bander comme un taureau et m'obsédait.
Nous fîmes plusieurs fois l'amour de cette façon, elle me dominant, me féminisant et m'enculant mais si j'y ai pris du plaisir, je sentais que le cœur n'y était pas totalement chez elle, qu'elle
aimait mais qu'elle avait du mal à me donner des ordres, étant à la base d'une personnalité passive et ayant peu confiance en elle.
Néanmoins, nous continuâmes, étant fou d'elle, je ne la forçais pas et tentais de lui faire prendre confiance en elle, de ce fait, nous arrivâmes petit a petit à une forme de compromis : quand elle
se sentait "prête" pour ça, elle me surnommait Laila, me féminisait mais je devait la guider, comme un metteur en scène. Ce petit jeu continua jusqu’à il y a quelques semaines.
Un jour, ma femme m’appela de chez sa copine, j'ignorais encore que ce serait la meilleure nuit de ma vie.
A 18h, elle se pointa chez nous, maquillée pour sortir, un sac en main, une robe de soie noire très courte moulant de manière sulfureuse son corps ( je pouvais aisément voir qu'elle n'avait rien
dessous), des jarretelles rouges et portant ses cuissardes noires. Je lui ouvris, elle m'embrassa langoureusement puis nous allâmes dans ma chambre. Là, elle me dit le plus sérieusement du monde :"
Va te raser intégralement le corps, nous sortons, j'ai une surprise pour toi..." Interloqué, je m’exécutais, me douchant par la même occasion afin de rendre ma peau la plus douce possible.
Revenant nu, juste couvert d'une serviette dans ma chambre, elle m'attendait assise sur ma chaise de bureau, jambes écartées, laissant voir son intimité rasée, le spectacle me mit l'eau a la
bouche.
" Ce soir, me fit-elle, je t'ai prévu une surprise, mais pour cela, il va falloir que tu m'obéisses au doigt et à l'œil sans me poser de question !"
Surpris mais étant d'un naturel curieux, j'acceptais avec une moue dubitative. « Tu ne le regretteras pas » me fit-elle avec un petit sourire coquin. Elle se leva alors, m'embrasse puis prit le sac
et me le tendit « Pour commencer, il te faut une tenue plus adaptée, vu que nous sortons, enfile ça ! »
J'ouvris le sac et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des vêtements féminins. « Nadia chérie, si on sort je peux pas mettre ça, on va se foutre de ma gueule ! » lui dis-je.
« Tu m'as juré que tu m'obéirais, alors fais-le, me fit-elle, sinon pas de surprise, mais crois-moi, tu vas louper quelque chose ! ».
Rechignant je m'exécutais, mon cœur battant la chamade, la honte me submergeant pendant que j'imaginais le pire : si quelqu'un me reconnaissait ? Ma réputation serait ruinée, mais.... à ma honte se
mêla vite autre chose. Tout en enfilant la petite culotte à froufrous qu'elle m'avait apportée, mon sexe commença à durcir, l'excitation était là aussi. Suivirent les bas noirs auto-fixants,
remontant à mi-cuisse, puis le soutien gorge rembourré et enfin une robe de velours noire similaire à la sienne. N'ayant pas de bottes à ma taille, Nadia me jeta une paire de sandales à talons «
Tiens, elles devraient te serrer un peu mais je n'ai que ça ». Je les enfilais et, maladroitement, tentai de me lever, Nadia me repoussa sur ma chaise en me lançant « Où vas-tu ? Tu n'es pas prête
à sortir ma belle ! ».
Elle sortit sa trousse a maquillage et me fit la totale : lèvres, yeux, joues... j'en sortis transformé. J'allais dans la salle de bain observer ma nouvelle apparence, ma féminité était plus
qu'exacerbée avec ce déguisement , ma silhouette fine et mes cheveux longs coiffés, on aurait même dit que j'avais une poitrine de jeune adolescente. Ma femme se glissa dernière moi et passa un
doigt sur ma culotte, elle caressa mon gland, me provoquant des spasmes de plaisirs et de légers gémissements.
« Tu vois que tu aimes ça, tu commences à entrer dans ton rôle, mais rassure-toi, me dit-elle avec un sourire lubrique, le meilleur reste à venir ».
La nuit était tombée, nous allâmes jusqu'à sa voiture, le parcours bien que court fut laborieux du fait de ma non habitude de marcher en talons hauts. Après m'avoir installée et remis le petit sac
à main en plastique contenant mes affaires, elle m'attacha un bandeau autour des yeux.
« A partir de maintenant, je te guide, tu n'enlèves pas le bandeau tant que je ne te l'ai pas dit, sinon c'est fichu ! ». « T'inquiète pas, lui répondis-je, au moins comme ça, personne ne me
reconnaîtra ».
La voiture démarra, je tentais de calmer la nervosité me gagnant, un subtil mélange de peur et d'excitation, je sentais en même temps que je transpirais dans ma culotte, je me tortillais dans tous
les sens pour ne pas céder a la tentation d'ôter le bandeau, Nadia me caressant régulièrement les cuisses et passant la main sous ma robe, me titillant effrontément, pour mieux me faire râler.
« Calme-toi ma Laila, tu es plus sexy que tu ne l'as jamais été, je sens bien que ta culotte est toute mouillée, mais ne cède pas petite chienne, sinon pas de surprise ! »
Au bout de ce qui me semblait être un quart d'heure de route, la voiture ralentit puis s'arrêta. Un bruit de porte qui claque, des pas, une porte s'ouvrant : ma femme était en train de faire le
tour et venait me chercher. A tâtons, je détachais ma ceinture et attendais qu'elle m'aide à sortir. Alors, elle m'enfila une laisse et m'entraîna dans un long couloir. Nous grimpâmes un escalier,
je l'entendis taper à une porte qui s'ouvrit de suite après.
Une voix féminine se fit entendre : « salut ma belle, tout est prêt, et toi ?
« Comme tu le vois, fit-elle, Laila est là et en tenue ».
Une troisième voix se fit entendre « mais elle est ravissante, je sens que nous allons bien nous amuser ». Je ne dis rien, me laisser entraîner à l'intérieur de ce qui semblait être un
appartement.
Je sentis deux paires de bras soulever les miens, me traîner jusqu'à une chaise, m’asseoir, les passer dans mon dos et le « clic » sonore d'une paire de menottes se refermant sur mes poignets, leur
métal froid et dur se collant à ma peau. Nadia me retira le bandeau, elle était entourée de deux jeunes filles: une petite brune un peu grosse à lunettes et une rousse fine assez grande. La brune
avait de longs cheveux bouclés attachés en une longue natte lui retombant sur les fesses et portait un top blanc, une courte jupe en jean et des bottines brunes tandis que la rousse avait les
cheveux coupés en carré et arborait simplement une robe légère d'été fleurie et des ballerines.
- Voici Malika et Ghita, me dit ma femme, je les ai rencontrées sur Internet
- C'est ça ma surprise ? Demandais-je
- Ça et bien plus encore ma chérie ! ».
Sur ces mots, elle embrassa longuement Malika (la brune) et commença a peloter ses gros seins biens lourds et fermes. Malika l'enlaça et prit bien fermement ses fesses en main, pendant que Ghita,
(la rousse) arrivait par derrière, glissant subrepticement ses mains entre les deux autres, la droite sur les seins de ma femme, la gauche dans son entrejambe qui commençait a mouiller fortement
tout en couvrant de baisers le cou de ma chérie, les deux filles lui extirpant ainsi de petits gémissements de plaisir. Elles relâchèrent leur étreinte et se tournèrent vers moi, Ghita, les doigts
encore à l'intérieur du vagin de mon épouse me toisa, son regard descendant sur la bosse sur ma robe formée par mon sexe en érection.
- Tiens, tiens, tiens, mais c'est que ça l'excite cette petite salope !
- Oui, susurra Nadia, elle doit avoir très envie de sexe. Tu veux ma chatte ma Laila ?
- Oui, fis-je en haletant, gêné par mon érection, une furieuse envie de me masturber me tenaillant. Faut que je baise là !
- Stop, me fait Malika, visiblement tu n'as pas tout compris : comment veux-tu baiser si tu es une fille, déjà ce soir, tu n'as plus de zob mais un « tabboune » (une chatte), donc celle qui va se
faire baiser, c'est toi !
- Pardon ? M'écriais-je
- Chut ! Me dit Ghita tout en me plaquant ses doigts pleins de jus de ma femme sur la bouche. Par instinct et envie, je les léchais, ne voulant pas perdre le bon fluide de ma chérie.
- Nadia, ma chérie ? Demandais-je d'un regard implorant.
- Tais-toi, tu dois m'obéir Laila, dit-elle d'un ton ferme
- Mais...
- SILENCE, GROSSE PUTE ! Hurla Malika, sa main me giflant violemment.
- Bon, inutile de le faire attendre plus longtemps, lança ma femme, on commence !
Les filles la regardèrent d'un air ravi, baissèrent leur culotte d'un mouvement rapide, se tournèrent vers moi et relevèrent leur vêtement révélant …. Un ZOB !!!
Malika et Ghita étaient des transsexuelles !!!
- Vous êtes des shemales ? Articulais-je.
- Mais c'est qu'elle comprends vite, la petite conne ! fit Malika. Ghita a sa bite depuis trois ans et moi deux. C'est ta femme qui nous a contactées disant que tu cherchais un plan en groupe avec
des shemales, et bien, tu vas être servi sale trou à foutre
commentaire n° :1
posté par :
lailatvx
le: 05/12/2013 à 14h32
:
le blog d'un amateur de baise très sale.....uro scat boue crème huile merde sperme....travesti salope (surtout si souillé) bienvenu
avec pleins de photos
Il y a quelques mois, j'ai avoué à ma femme Nadia mon adoration pour le BDSM et notamment la domination féminine et la féminisation. Celle-ci curieuse mais peu à l'aise avec ceci accepta quand même de tester et de se mettre dans la peau d'une dominatrice. Pour l’aider, je lui offris tout son "petit matériel" : plug, menottes, fouet, laisse, liens, et même un magnifique gode ceinture dont j'attendais avec impatience sa première utilisation. L'idée de sucer la grosse bite de plastique de ma femme en imaginant que ça soit une vraie et ensuite, me la prendre violemment dans les fesses, pendant qu'elle me crache dessus en me traitant de petite pute aimant porter ses fringues, me faisait bander comme un taureau et m'obsédait.
Nous fîmes plusieurs fois l'amour de cette façon, elle me dominant, me féminisant et m'enculant mais si j'y ai pris du plaisir, je sentais que le cœur n'y était pas totalement chez elle, qu'elle aimait mais qu'elle avait du mal à me donner des ordres, étant à la base d'une personnalité passive et ayant peu confiance en elle.
Néanmoins, nous continuâmes, étant fou d'elle, je ne la forçais pas et tentais de lui faire prendre confiance en elle, de ce fait, nous arrivâmes petit a petit à une forme de compromis : quand elle se sentait "prête" pour ça, elle me surnommait Laila, me féminisait mais je devait la guider, comme un metteur en scène. Ce petit jeu continua jusqu’à il y a quelques semaines.
Un jour, ma femme m’appela de chez sa copine, j'ignorais encore que ce serait la meilleure nuit de ma vie.
A 18h, elle se pointa chez nous, maquillée pour sortir, un sac en main, une robe de soie noire très courte moulant de manière sulfureuse son corps ( je pouvais aisément voir qu'elle n'avait rien dessous), des jarretelles rouges et portant ses cuissardes noires. Je lui ouvris, elle m'embrassa langoureusement puis nous allâmes dans ma chambre. Là, elle me dit le plus sérieusement du monde :" Va te raser intégralement le corps, nous sortons, j'ai une surprise pour toi..." Interloqué, je m’exécutais, me douchant par la même occasion afin de rendre ma peau la plus douce possible.
Revenant nu, juste couvert d'une serviette dans ma chambre, elle m'attendait assise sur ma chaise de bureau, jambes écartées, laissant voir son intimité rasée, le spectacle me mit l'eau a la bouche.
" Ce soir, me fit-elle, je t'ai prévu une surprise, mais pour cela, il va falloir que tu m'obéisses au doigt et à l'œil sans me poser de question !"
Surpris mais étant d'un naturel curieux, j'acceptais avec une moue dubitative. « Tu ne le regretteras pas » me fit-elle avec un petit sourire coquin. Elle se leva alors, m'embrasse puis prit le sac et me le tendit « Pour commencer, il te faut une tenue plus adaptée, vu que nous sortons, enfile ça ! »
J'ouvris le sac et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des vêtements féminins. « Nadia chérie, si on sort je peux pas mettre ça, on va se foutre de ma gueule ! » lui dis-je.
« Tu m'as juré que tu m'obéirais, alors fais-le, me fit-elle, sinon pas de surprise, mais crois-moi, tu vas louper quelque chose ! ».
Rechignant je m'exécutais, mon cœur battant la chamade, la honte me submergeant pendant que j'imaginais le pire : si quelqu'un me reconnaissait ? Ma réputation serait ruinée, mais.... à ma honte se mêla vite autre chose. Tout en enfilant la petite culotte à froufrous qu'elle m'avait apportée, mon sexe commença à durcir, l'excitation était là aussi. Suivirent les bas noirs auto-fixants, remontant à mi-cuisse, puis le soutien gorge rembourré et enfin une robe de velours noire similaire à la sienne. N'ayant pas de bottes à ma taille, Nadia me jeta une paire de sandales à talons « Tiens, elles devraient te serrer un peu mais je n'ai que ça ». Je les enfilais et, maladroitement, tentai de me lever, Nadia me repoussa sur ma chaise en me lançant « Où vas-tu ? Tu n'es pas prête à sortir ma belle ! ».
Elle sortit sa trousse a maquillage et me fit la totale : lèvres, yeux, joues... j'en sortis transformé. J'allais dans la salle de bain observer ma nouvelle apparence, ma féminité était plus qu'exacerbée avec ce déguisement , ma silhouette fine et mes cheveux longs coiffés, on aurait même dit que j'avais une poitrine de jeune adolescente. Ma femme se glissa dernière moi et passa un doigt sur ma culotte, elle caressa mon gland, me provoquant des spasmes de plaisirs et de légers gémissements.
« Tu vois que tu aimes ça, tu commences à entrer dans ton rôle, mais rassure-toi, me dit-elle avec un sourire lubrique, le meilleur reste à venir ».
La nuit était tombée, nous allâmes jusqu'à sa voiture, le parcours bien que court fut laborieux du fait de ma non habitude de marcher en talons hauts. Après m'avoir installée et remis le petit sac à main en plastique contenant mes affaires, elle m'attacha un bandeau autour des yeux.
« A partir de maintenant, je te guide, tu n'enlèves pas le bandeau tant que je ne te l'ai pas dit, sinon c'est fichu ! ». « T'inquiète pas, lui répondis-je, au moins comme ça, personne ne me reconnaîtra ».
La voiture démarra, je tentais de calmer la nervosité me gagnant, un subtil mélange de peur et d'excitation, je sentais en même temps que je transpirais dans ma culotte, je me tortillais dans tous les sens pour ne pas céder a la tentation d'ôter le bandeau, Nadia me caressant régulièrement les cuisses et passant la main sous ma robe, me titillant effrontément, pour mieux me faire râler.
« Calme-toi ma Laila, tu es plus sexy que tu ne l'as jamais été, je sens bien que ta culotte est toute mouillée, mais ne cède pas petite chienne, sinon pas de surprise ! »
Au bout de ce qui me semblait être un quart d'heure de route, la voiture ralentit puis s'arrêta. Un bruit de porte qui claque, des pas, une porte s'ouvrant : ma femme était en train de faire le tour et venait me chercher. A tâtons, je détachais ma ceinture et attendais qu'elle m'aide à sortir. Alors, elle m'enfila une laisse et m'entraîna dans un long couloir. Nous grimpâmes un escalier, je l'entendis taper à une porte qui s'ouvrit de suite après.
Une voix féminine se fit entendre : « salut ma belle, tout est prêt, et toi ?
« Comme tu le vois, fit-elle, Laila est là et en tenue ».
Une troisième voix se fit entendre « mais elle est ravissante, je sens que nous allons bien nous amuser ». Je ne dis rien, me laisser entraîner à l'intérieur de ce qui semblait être un appartement.
Je sentis deux paires de bras soulever les miens, me traîner jusqu'à une chaise, m’asseoir, les passer dans mon dos et le « clic » sonore d'une paire de menottes se refermant sur mes poignets, leur métal froid et dur se collant à ma peau. Nadia me retira le bandeau, elle était entourée de deux jeunes filles: une petite brune un peu grosse à lunettes et une rousse fine assez grande. La brune avait de longs cheveux bouclés attachés en une longue natte lui retombant sur les fesses et portait un top blanc, une courte jupe en jean et des bottines brunes tandis que la rousse avait les cheveux coupés en carré et arborait simplement une robe légère d'été fleurie et des ballerines.
- Voici Malika et Ghita, me dit ma femme, je les ai rencontrées sur Internet
- C'est ça ma surprise ? Demandais-je
- Ça et bien plus encore ma chérie ! ».
Sur ces mots, elle embrassa longuement Malika (la brune) et commença a peloter ses gros seins biens lourds et fermes. Malika l'enlaça et prit bien fermement ses fesses en main, pendant que Ghita, (la rousse) arrivait par derrière, glissant subrepticement ses mains entre les deux autres, la droite sur les seins de ma femme, la gauche dans son entrejambe qui commençait a mouiller fortement tout en couvrant de baisers le cou de ma chérie, les deux filles lui extirpant ainsi de petits gémissements de plaisir. Elles relâchèrent leur étreinte et se tournèrent vers moi, Ghita, les doigts encore à l'intérieur du vagin de mon épouse me toisa, son regard descendant sur la bosse sur ma robe formée par mon sexe en érection.
- Tiens, tiens, tiens, mais c'est que ça l'excite cette petite salope !
- Oui, susurra Nadia, elle doit avoir très envie de sexe. Tu veux ma chatte ma Laila ?
- Oui, fis-je en haletant, gêné par mon érection, une furieuse envie de me masturber me tenaillant. Faut que je baise là !
- Stop, me fait Malika, visiblement tu n'as pas tout compris : comment veux-tu baiser si tu es une fille, déjà ce soir, tu n'as plus de zob mais un « tabboune » (une chatte), donc celle qui va se faire baiser, c'est toi !
- Pardon ? M'écriais-je
- Chut ! Me dit Ghita tout en me plaquant ses doigts pleins de jus de ma femme sur la bouche. Par instinct et envie, je les léchais, ne voulant pas perdre le bon fluide de ma chérie.
- Nadia, ma chérie ? Demandais-je d'un regard implorant.
- Tais-toi, tu dois m'obéir Laila, dit-elle d'un ton ferme
- Mais...
- SILENCE, GROSSE PUTE ! Hurla Malika, sa main me giflant violemment.
- Bon, inutile de le faire attendre plus longtemps, lança ma femme, on commence !
Les filles la regardèrent d'un air ravi, baissèrent leur culotte d'un mouvement rapide, se tournèrent vers moi et relevèrent leur vêtement révélant …. Un ZOB !!!
Malika et Ghita étaient des transsexuelles !!!
- Vous êtes des shemales ? Articulais-je.
- Mais c'est qu'elle comprends vite, la petite conne ! fit Malika. Ghita a sa bite depuis trois ans et moi deux. C'est ta femme qui nous a contactées disant que tu cherchais un plan en groupe avec des shemales, et bien, tu vas être servi sale trou à foutre