J'aurais bien aimée être avec cette belle salope pour partager les mâles et boire leur foutre et leur pisse.
commentaire n° :1
posté par :
Jeanne travestie
le: 23/05/2012 à 09h47
Oui, ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Mais malheureusement pour toi
Ma petite bite
Mon petit zizi
Ne te faisait aucun effet
Ne te satisfaisait plus
Tu voulais mieux
Tu désirais plus
Je t’ai laissé faire
Afin de me soustraire
Et devenir bonne à tout faire
Puis tu as commencé à me donner des ordres devant tes amants,
En m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre,
Les courses mal faites...
Tout cela devant eux
Et ce sentiment d'humiliation
Ne provoquait en moi aucune réaction,
Devant tes amants
J’aurais dû faire le mâle,
Taper du poing,
Mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle,
Je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié.
Tes amants étaient gênés au début,
Je représentais pour eux le dominant du couple parfait,
Mais très vite ils ont compris
Que c'était Toi le centre,
Et m'adressèrent de moins en moins la parole.
De plus en plus
Je me vis vous servir,
Bientôt le soir,
Je faisais la cuisine,
Mangeais avec vous qui monopolisiez la conversation.
Puis je débarrassais et rangeais la cuisine
Alors que vous alliez vous affaler sur le canapé
À regarder la télé
De plus en plus
L’un à l’autre collés…
Pendant que brutalement vous baisiez
Parfois ton amant se retirait
Te retenant par la nuque
Pour te remplir le gosier
De sa semence que tu aimais
Tu poussais des gloussements de contentement
Tu avalais tout en pompant
Tu n’as jamais avalé avec moi
De toute façon
Les fellations complètes
N’ont jamais été
Au programme avec moi
Moi toujours bandant
Sans même me masturber
J’avais joui deux ou trois fois
Mon sperme maculait le tapis devant moi
- Bon, me dis-tu,
Nous, on va se coucher
Il est évident petit cocu
Que ta place n’est plus dans notre lit
Tu vas nettoyer toutes tes saletés
Et dormir sur le canapé !
commentaire n° :2
posté par :
lailatvx
le: 23/05/2012 à 11h02
:
le blog d'un amateur de baise très sale.....uro scat boue crème huile merde sperme....travesti salope (surtout si souillé) bienvenu
avec pleins de photos
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Mais malheureusement pour toi
Ma petite bite
Mon petit zizi
Ne te faisait aucun effet
Ne te satisfaisait plus
Tu voulais mieux
Tu désirais plus
Je t’ai laissé faire
Afin de me soustraire
Et devenir bonne à tout faire
Puis tu as commencé à me donner des ordres devant tes amants,
En m'humiliant à chaque occasion...
Me disant que la vaisselle n'était pas propre,
Les courses mal faites...
Tout cela devant eux
Et ce sentiment d'humiliation
Ne provoquait en moi aucune réaction,
Devant tes amants
J’aurais dû faire le mâle,
Taper du poing,
Mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle,
Je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié.
Tes amants étaient gênés au début,
Je représentais pour eux le dominant du couple parfait,
Mais très vite ils ont compris
Que c'était Toi le centre,
Et m'adressèrent de moins en moins la parole.
De plus en plus
Je me vis vous servir,
Bientôt le soir,
Je faisais la cuisine,
Mangeais avec vous qui monopolisiez la conversation.
Puis je débarrassais et rangeais la cuisine
Alors que vous alliez vous affaler sur le canapé
À regarder la télé
De plus en plus
L’un à l’autre collés…
Pendant que brutalement vous baisiez
Parfois ton amant se retirait
Te retenant par la nuque
Pour te remplir le gosier
De sa semence que tu aimais
Tu poussais des gloussements de contentement
Tu avalais tout en pompant
Tu n’as jamais avalé avec moi
De toute façon
Les fellations complètes
N’ont jamais été
Au programme avec moi
Moi toujours bandant
Sans même me masturber
J’avais joui deux ou trois fois
Mon sperme maculait le tapis devant moi
- Bon, me dis-tu,
Nous, on va se coucher
Il est évident petit cocu
Que ta place n’est plus dans notre lit
Tu vas nettoyer toutes tes saletés
Et dormir sur le canapé !