Il y a quelques mois, j'ai avoué à ma femme Camille mon adoration pour la domination féminine et la féminisation. Celle ci curieuse mais peu à l'aise accepta quand même de tester et de se mettre
dans la peau d'une dominatrice. Pour l’aider, je lui offris tout son "petit matériel" : plug, menottes, fouet, laisse, liens, et même un magnifique gode ceinture dont j'attendais avec impatience sa
première utilisation. L'idée de sucer la grosse bite de plastique de ma copine en imaginant que ça soit une vraie et ensuite me la prendre violemment dans les fesses pendant qu'elle me crache
dessus en me traitant de petite pute aimant porter ses fringues me faisait bander comme un taureau et m'obsédait.
Nous fîmes plusieurs fois l'amour de cette façon, elle me dominant, me féminisant et m'enculant mais si j'y ait pris du plaisir, je sentais que le cœur n'y était pas totalement chez elle, qu'elle
aimait mais qu'elle avait du mal à me donner des ordres, étant à la base d'une personnalité passive et ayant peu confiance en elle. Néanmoins, nous continuâmes, étant fou d'elle je ne la forçais
pas et tentais de lui faire prendre confiance en elle, de ce fait, nous arrivâmes petit a petit à une forme de compromis : quand elle se sentait "prête" pour ça, elle me demandait Ziva (mon nom de
pute féminisée, choisi en hommage du personnage de Ziva David dans la série NCIS dont elle est une grande fan), me féminisait mais je devais la guider comme un metteur en scène. Ce petit jeu
continua jusqu’à il y a quelques semaines.
Un soir, Camille m’appela pour me dire qu'elle passait chez moi, j'ignorais encore que ce serait la meilleure nuit de ma vie.
A 18h, elle se pointa chez moi, maquillée pour sortir, un sac en main, une robe de soie noire très courte moulant de manière sulfureuse son corps ( je pouvais aisément voir qu'elle n'avait rien
dessous), des jarretelles rouges et portant ses cuissardes noires. Je lui ouvris, elle m'embrassa langoureusement puis, nous allâmes dans ma chambre. Là elle me dit le plus sérieusement du monde :"
va te raser intégralement le corps, nous sortons, j'ai une surprise pour toi..." interloqué, je m’exécutais, me douchant par la même occasion afin de rendre ma peau la plus douce possible.
Revenant nu, juste couvert d'une serviette dans ma chambre, elle m'attendait assise sur ma chaise de bureau, jambes écartées, laissant voir son intimité rasée, le spectacle me mit l'eau à la
bouche.
" Ce soir, me fit elle, je t'ai prévu une surprise, mais pour cela il va falloir que tu m'obéisses au doigt et à l'œil sans me poser de questions."
Surpris mais étant d'un naturel curieux, j'acceptais avec une moue dubitative. « Tu ne le regretteras pas » me fit-elle avec un petit sourire coquin. Elle se leva alors, m'embrasse puis prit le sac
et me le tendit. « Pour commencer, il te faut une tenue plus adaptée vu que nous sortons, enfile ça ! »
J'ouvris le sac et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des vêtements féminins. « Camille si on sort, je peux pas mettre ça, on va se foutre de ma gueule » lui fis-je.
« Tu m'as juré que tu m'obéirais alors fais-le, me dit-elle, sinon pas de surprise mais crois moi, tu va louper quelque chose ».
Rechignant je m'exécutais, mon cœur battant la chamade, la honte me submergeant pendant que j'imaginais le pire : si quelqu'un me reconnaissait ? Ma réputation serait ruinée, mais.... à ma honte se
mêla vite autre chose. Tout en enfilant la petite culotte écossaise à froufrous qu'elle m'avait apportée, mon sexe commença à durcir, l'excitation était là aussi. Suivirent les bas noirs
auto-fixants, remontant à mi-cuisse, puis le soutien gorge rembourré et enfin une robe de velours noire similaire à la sienne. N'ayant pas de bottes à ma taille, Camille me jeta une paire de
sandales à talons. « Tiens, elles devraient te serrer un peu mais je n'ai que ça ». Je les enfilais et, maladroitement tentai de me lever, Camille me repoussa sur ma chaise en me lançant « Où vas
tu ? Tu n'es pas prête à sortir ma belle ». Elle sortit sa trousse à maquillage et me fit la totale : lèvres, yeux, joues... j'en sortis transformé. J'allais dans la salle de bain observer ma
nouvelle apparence, ma féminité était plus qu'exacerbée avec ce déguisement , ma silhouette fine et mes cheveux longs coiffés, on aurait même dit que j'avais une poitrine de jeune adolescente.
Camille se glissa dernière moi et passa un doigt sur ma culotte, elle caressa mon gland, me provoquant des spasmes de plaisirs et de légers gémissements.
« Tu voit que tu aimes ça, tu commences à entrer dans ton rôle, mais rassure toi, me fit elle avec un sourire lubrique, le meilleur reste a venir ».
La nuit était tombée, nous allâmes jusqu'à sa voiture, le parcours bien que court fut laborieux du fait de ma non habitude de marcher en talons hauts. Après m'avoir installé et remit le petit sac a
main en plastique « Chipie » contenant mes affaires, elle m'attacha un bandeau autour des yeux.
« A partir de maintenant, je te guide, tu n'enlèves pas le bandeau tant que je ne te l'ai pas dit sinon, c'est fichu ». « T'inquiète pas, lui répondis-je, au moins comme ça personne ne me
reconnaîtra ».
La voiture démarra, je tentais de calmer la nervosité me gagnant, un subtil mélange de peur et d'excitation, je sentais en même temps que je transpirais dans ma culotte, je me tortillais dans tous
les sens pour ne pas céder a la tentation d'ôter le bandeau, Camille me caressant régulièrement les cuisses et passant la main sous ma robe, me titillant effrontément, pour mieux me faire
râler.
« Calme toi ma Ziva, tu es plus sexy que tu ne l'as jamais été, je sens bien que ta culotte est toute mouillée mais ne cède pas petite chienne sinon, pas de surprise. »
Au bout de ce qui me semblait être un quart d'heure de route, la voiture ralentit puis s'arrêta. Un bruit de porte qui claque, des pas, une porte s'ouvrant : Camille était en train de faire le tour
et venait me chercher. A tâtons, je détachais ma ceinture et attendais qu'elle m'aide à sortir. Alors, elle m'enfila une laisse et m'entraîna dans un long couloir. Nous grimpâmes un escalier,
tournâmes à gauche, je l'entendis taper à une porte qui s'ouvrit de suite après.
Une voix féminine se fit entendre : « salut ma belle, tout est prêt, et toi ?
- Comme tu le vois, fit-elle, Ziva est là et en tenue.
Une troisième voix se fit entendre « mais elle est ravissante, je sens que nous allons bien nous amuser ». Je ne dis rien, me laisse entraîner à l'intérieur de ce qui semblait être un
appartement.
Je sentis deux paires de bras soulever les miens, me traîner jusqu'à une chaise, m’asseoir, les passer dans mon dos et le « clic » sonore d'une paire de menottes se refermant sur mes poignets, leur
métal froid et dur se collant à ma peau. Camille me retira le bandeau, elle était entourée de deux jeunes filles: une petite brune un peu grosse a lunettes et une rousse fine assez grande. La brune
avait de longs cheveux bouclés attachés en une longue natte lui retombant sur les fesses et portait un top blanc, une courte jupe en jean et des bottines brunes tandis que la rousse avait les
cheveux coupés en carré et arborait simplement une robe légère d'été fleurie et des ballerines.
« Voici Maya et Gretchen, me dit Camille, je les ai rencontrées sur Internet
- C'est ça ma surprise ? Demandais-je
-Ça et bien plus encore ma chérie ».
Sur ces mots, elle embrassa longuement Maya (la brune) et commença a peloter ses gros seins biens lourds et fermes. Maya l'enlaça et prit bien fermement ses fesses en main, pendant que Gretchen,
(la rousse) arrivait par derrière, glissant subrepticement ses mains entre les deux autres, la droite sur les seins de Camille, la gauche dans son entrejambe qui commençait a mouiller fortement
tout en couvrant de baisers le cou de ma chérie, les deux filles lui extirpant ainsi de petits gémissements de plaisir. Elles relâchèrent leur étreinte et se tournèrent vers moi, Gretchen, les
doigts encore a l'intérieur du vagin de Camille me toisa, son regard descendant sur la bosse, sur ma robe formée par mon sexe en érection.
« Tiens, tiens, tiens, mais c'est que ça l'excite cette petite salope.
- Oui susurra Camille elle doit avoir trèèèèès envie de sexe. Tu veux ma chatte ma Ziva ?
- Oui, fis je en haletant, gêné par mon érection, une furieuse envie de me masturber me tenaillant. Faut que je baise là !
- Non, me fait Maya, visiblement tu n'as pas tout compris : comment veux-tu baiser si tu es une fille, déjà ce soir, tu n'as plus de bite mais une chatte donc celle qui va se faire baiser c'est toi
!
- Pardon ? M'écriais-je
- Chut ! Me fit Gretchen tout en me plaquant ses doigts pleins de jus de Camille sur la bouche. Par instinct et envie, je les léchais ne voulant perdre le bon fluide de ma chérie.
- Camille ? Demandais-je d'un regard implorant.
- Tais-toi, tu dois m'obéir Ziva, dit elle d'un ton ferme
- Mais...
- SILENCE GROSSE PUTE, hurla Maya, sa main me giflant violemment.
- Bon inutile de le faire attendre plus longtemps, lança Camille, on commence.
Les filles la regardèrent d'un air ravi, baissèrent leurs culottes d'un mouvement rapide, se tournèrent vers moi et relevèrent leur vêtement révélant …. Un pénis.
Maya et Gretchen étaient des transsexuelles !!
Vous êtes des shemales ? Articulais-je.
- Mais c'est qu'elle comprend vite la petite conne, fit Maya ! Gretchen a sa bite depuis trois ans et moi deux. C'est Camille qui nous a contactés disant que tu cherchais un plan en groupe avec des
shemales, et bien tu vas être servi sale trou
commentaire n° :1
posté par :
lailatvx
le: 04/06/2012 à 08h14
J’ai toujours aimé me faire frapper. Ça doit remonter du temps où j'étais le chétif gamin du collège que les grands aimaient brimer et tabasser. Qu'on se comprenne bien ; je ne me fais pas démonter
la gueule pour juste être défoncé, mais j'aime être dominé physiquement et moralement par un être supérieur et vicieux. Les claques dans la gueule et les fessées sont alors de jouissifs moments de
douleur. L'actif de la semaine passée m'en a fait baver et jouir grave! Ce Maître merveilleux de 55 ans, ttbm (21x5,5), m'avait convoqué de la façon habituelle sur mon smartphone : « Salut salope.
Bouge ton petit q et sois à 19h devant ma porte ». Je prends ma douche et me lave profondément l'anus, puis y mets copieusement du gel, comme Maître Sylvain aime. Je mets mon 501 troué au cul et
délavé, mes baskets et un T-shirt noir troué aux seins. A l'heure dite, je me place devant la porte, mets le sac en plastique noir placé à cet effet sur le paillasson et attends.
L'attente est de moyenne durée. Sans lumière, le temps est distordu et les repères habituels évaporés. Des pas se font entendre dans l'escalier du bâtiment et une main me palpe le cul. Très vite un
doigt passe dans l'ouverture du jeans et me titille la rondelle. Maître Sylvain me souffle à l'oreille : « Mmmmmh, bonne salope! Je vais bien te loper ce soir, j'ai une de ces envies de te faire
morfler sale pute! ». Une bonne baffe me fait tressauter et Maître en profite pour me rentrer son index profond dans le cul. Il le recourbe et tiraille dans tous les sens assez violemment. Déjà je
transpire à l'évocation de ses désirs qui semblent violents à souhait. Ce soir sera mémorable.
Un coup dans les côtes me casse en deux et Il en profite pour tirer le jeans vers le haut, très fort, pour me plaquer contre la porte d'entrée de l'appart. Un deuxième doigt me fouille le rectum et
les baffes pleuvent sur mon crâne. Les baffes sur les oreilles me tintent dans le cerveau, j'aime! Il déverrouille la porte d'entrée et me jette au sol. Je reste stoïque et attends l'avalanche de
coups qui ne sauraient tarder. Maître me connaît et patiente en se mettant à l'aise, Il se dévêt et accroche sa veste, se sert un whisky, le sirote un peu. Puis un bon coup de ses souliers me
replonge dans mes affres, suivi de bien d'autres dans le ventre, les côtes et surtout au cul. Maître aime beaucoup mon cul. C'est ce qui lui a plu en moi lors de notre première rencontre. Musclé,
souple, rond, doux et aimant les fessées. Alors que les coups s'arrêtent, Maître me prend violemment aux cheveux au travers du sac plastique et me relève. Cinq baffes claquent et son genou me
frappe les couilles. Je retombe. « Lève-toi salope et désape-toi. Vite! ». Le sac sur la tête, sans doute en vacillant, je me redresse et ôte mon T-shirt, me courbe comme en cours de gym (les
genoux droits) pour me délacer les baskets. Maître apprécie et me doigte l'anus par le trou du jeans. Il me redresse par les cheveux et me plante son doigt en bouche. « Suce salope ! ». J'obtempère
en me tortillant comme une pute pour sortir du jeans. Ma bite est collée aux abdos et suinte déjà. Le gel est à la banane, j’adore trop ! Le mélange banane secrétions annales est magique.
Maître me regarde sucer, je sais qu’il apprécie. Je me retrouve seul quelques instants, le temps pour Maître de chercher les accessoires nécessaires à ma mise en condition pour le satisfaire
buccalement. Mes lèvres sont pour lui, comme ma gorge et mes convulsions, source de plaisir intense. Maître revient, me menotte les poignets que je gardais croisés dans le dos, et me projette d’un
coup de genou au sol, à genoux, afin de bien le sucer. La bouche béante, j’avale sa bite en tirant bien ma langue pour faciliter son intromission dans ma bouche. Là, je tête, je suce son gland
comme l’esclave de sa bite que je suis devenu. A sa fantaisie, Maître me plonge sa bite dans la gorge afin que mes convulsions le stimulent et l’amusent. Je sais qu’Il aime me voir souffrir. Je
sais qu’Il sait que j’aime ça et Il en abuse. De longues minutes, Maître m’enfourne sa bite profond en me claquant. «Sale pute, suce ! Prends ça salope !». Je Le sens devenir très dur et Maître me
propulse sa bite dans la gorge, derrière la luette et se vide en gueulant « Ah salope ! Sale pute !». Le foutre me remplit, mais j’attends le reste, car Maître aime me remplir de sa pisse après
avoir juté. Il se masse la base du sexe resté hors de ma bouche alors que je lui masse doucement le gland de ma langue pour favoriser son sexe à me pisser en bouche. Quelques minutes suffisent pour
recevoir ses jets puissants d’urine en bouche. J’avale comme je le peux, la pisse étant toujours écœurante, tout comme boire la pisse est humiliantissime. Maître se finit en me collant la tête à
son ventre. « C’est bien salope, t’es une bonne pute » me confie-t-il agrémentant ses mots de deux gifles qui me propulsent au sol.
commentaire n° :2
posté par :
lailatvx
le: 05/06/2012 à 11h29
:
le blog d'un amateur de baise très sale.....uro scat boue crème huile merde sperme....travesti salope (surtout si souillé) bienvenu
avec pleins de photos
Nous fîmes plusieurs fois l'amour de cette façon, elle me dominant, me féminisant et m'enculant mais si j'y ait pris du plaisir, je sentais que le cœur n'y était pas totalement chez elle, qu'elle aimait mais qu'elle avait du mal à me donner des ordres, étant à la base d'une personnalité passive et ayant peu confiance en elle. Néanmoins, nous continuâmes, étant fou d'elle je ne la forçais pas et tentais de lui faire prendre confiance en elle, de ce fait, nous arrivâmes petit a petit à une forme de compromis : quand elle se sentait "prête" pour ça, elle me demandait Ziva (mon nom de pute féminisée, choisi en hommage du personnage de Ziva David dans la série NCIS dont elle est une grande fan), me féminisait mais je devais la guider comme un metteur en scène. Ce petit jeu continua jusqu’à il y a quelques semaines.
Un soir, Camille m’appela pour me dire qu'elle passait chez moi, j'ignorais encore que ce serait la meilleure nuit de ma vie.
A 18h, elle se pointa chez moi, maquillée pour sortir, un sac en main, une robe de soie noire très courte moulant de manière sulfureuse son corps ( je pouvais aisément voir qu'elle n'avait rien dessous), des jarretelles rouges et portant ses cuissardes noires. Je lui ouvris, elle m'embrassa langoureusement puis, nous allâmes dans ma chambre. Là elle me dit le plus sérieusement du monde :" va te raser intégralement le corps, nous sortons, j'ai une surprise pour toi..." interloqué, je m’exécutais, me douchant par la même occasion afin de rendre ma peau la plus douce possible.
Revenant nu, juste couvert d'une serviette dans ma chambre, elle m'attendait assise sur ma chaise de bureau, jambes écartées, laissant voir son intimité rasée, le spectacle me mit l'eau à la bouche.
" Ce soir, me fit elle, je t'ai prévu une surprise, mais pour cela il va falloir que tu m'obéisses au doigt et à l'œil sans me poser de questions."
Surpris mais étant d'un naturel curieux, j'acceptais avec une moue dubitative. « Tu ne le regretteras pas » me fit-elle avec un petit sourire coquin. Elle se leva alors, m'embrasse puis prit le sac et me le tendit. « Pour commencer, il te faut une tenue plus adaptée vu que nous sortons, enfile ça ! »
J'ouvris le sac et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant des vêtements féminins. « Camille si on sort, je peux pas mettre ça, on va se foutre de ma gueule » lui fis-je.
« Tu m'as juré que tu m'obéirais alors fais-le, me dit-elle, sinon pas de surprise mais crois moi, tu va louper quelque chose ».
Rechignant je m'exécutais, mon cœur battant la chamade, la honte me submergeant pendant que j'imaginais le pire : si quelqu'un me reconnaissait ? Ma réputation serait ruinée, mais.... à ma honte se mêla vite autre chose. Tout en enfilant la petite culotte écossaise à froufrous qu'elle m'avait apportée, mon sexe commença à durcir, l'excitation était là aussi. Suivirent les bas noirs auto-fixants, remontant à mi-cuisse, puis le soutien gorge rembourré et enfin une robe de velours noire similaire à la sienne. N'ayant pas de bottes à ma taille, Camille me jeta une paire de sandales à talons. « Tiens, elles devraient te serrer un peu mais je n'ai que ça ». Je les enfilais et, maladroitement tentai de me lever, Camille me repoussa sur ma chaise en me lançant « Où vas tu ? Tu n'es pas prête à sortir ma belle ». Elle sortit sa trousse à maquillage et me fit la totale : lèvres, yeux, joues... j'en sortis transformé. J'allais dans la salle de bain observer ma nouvelle apparence, ma féminité était plus qu'exacerbée avec ce déguisement , ma silhouette fine et mes cheveux longs coiffés, on aurait même dit que j'avais une poitrine de jeune adolescente. Camille se glissa dernière moi et passa un doigt sur ma culotte, elle caressa mon gland, me provoquant des spasmes de plaisirs et de légers gémissements.
« Tu voit que tu aimes ça, tu commences à entrer dans ton rôle, mais rassure toi, me fit elle avec un sourire lubrique, le meilleur reste a venir ».
La nuit était tombée, nous allâmes jusqu'à sa voiture, le parcours bien que court fut laborieux du fait de ma non habitude de marcher en talons hauts. Après m'avoir installé et remit le petit sac a main en plastique « Chipie » contenant mes affaires, elle m'attacha un bandeau autour des yeux.
« A partir de maintenant, je te guide, tu n'enlèves pas le bandeau tant que je ne te l'ai pas dit sinon, c'est fichu ». « T'inquiète pas, lui répondis-je, au moins comme ça personne ne me reconnaîtra ».
La voiture démarra, je tentais de calmer la nervosité me gagnant, un subtil mélange de peur et d'excitation, je sentais en même temps que je transpirais dans ma culotte, je me tortillais dans tous les sens pour ne pas céder a la tentation d'ôter le bandeau, Camille me caressant régulièrement les cuisses et passant la main sous ma robe, me titillant effrontément, pour mieux me faire râler.
« Calme toi ma Ziva, tu es plus sexy que tu ne l'as jamais été, je sens bien que ta culotte est toute mouillée mais ne cède pas petite chienne sinon, pas de surprise. »
Au bout de ce qui me semblait être un quart d'heure de route, la voiture ralentit puis s'arrêta. Un bruit de porte qui claque, des pas, une porte s'ouvrant : Camille était en train de faire le tour et venait me chercher. A tâtons, je détachais ma ceinture et attendais qu'elle m'aide à sortir. Alors, elle m'enfila une laisse et m'entraîna dans un long couloir. Nous grimpâmes un escalier, tournâmes à gauche, je l'entendis taper à une porte qui s'ouvrit de suite après.
Une voix féminine se fit entendre : « salut ma belle, tout est prêt, et toi ?
- Comme tu le vois, fit-elle, Ziva est là et en tenue.
Une troisième voix se fit entendre « mais elle est ravissante, je sens que nous allons bien nous amuser ». Je ne dis rien, me laisse entraîner à l'intérieur de ce qui semblait être un appartement.
Je sentis deux paires de bras soulever les miens, me traîner jusqu'à une chaise, m’asseoir, les passer dans mon dos et le « clic » sonore d'une paire de menottes se refermant sur mes poignets, leur métal froid et dur se collant à ma peau. Camille me retira le bandeau, elle était entourée de deux jeunes filles: une petite brune un peu grosse a lunettes et une rousse fine assez grande. La brune avait de longs cheveux bouclés attachés en une longue natte lui retombant sur les fesses et portait un top blanc, une courte jupe en jean et des bottines brunes tandis que la rousse avait les cheveux coupés en carré et arborait simplement une robe légère d'été fleurie et des ballerines.
« Voici Maya et Gretchen, me dit Camille, je les ai rencontrées sur Internet
- C'est ça ma surprise ? Demandais-je
-Ça et bien plus encore ma chérie ».
Sur ces mots, elle embrassa longuement Maya (la brune) et commença a peloter ses gros seins biens lourds et fermes. Maya l'enlaça et prit bien fermement ses fesses en main, pendant que Gretchen, (la rousse) arrivait par derrière, glissant subrepticement ses mains entre les deux autres, la droite sur les seins de Camille, la gauche dans son entrejambe qui commençait a mouiller fortement tout en couvrant de baisers le cou de ma chérie, les deux filles lui extirpant ainsi de petits gémissements de plaisir. Elles relâchèrent leur étreinte et se tournèrent vers moi, Gretchen, les doigts encore a l'intérieur du vagin de Camille me toisa, son regard descendant sur la bosse, sur ma robe formée par mon sexe en érection.
« Tiens, tiens, tiens, mais c'est que ça l'excite cette petite salope.
- Oui susurra Camille elle doit avoir trèèèèès envie de sexe. Tu veux ma chatte ma Ziva ?
- Oui, fis je en haletant, gêné par mon érection, une furieuse envie de me masturber me tenaillant. Faut que je baise là !
- Non, me fait Maya, visiblement tu n'as pas tout compris : comment veux-tu baiser si tu es une fille, déjà ce soir, tu n'as plus de bite mais une chatte donc celle qui va se faire baiser c'est toi !
- Pardon ? M'écriais-je
- Chut ! Me fit Gretchen tout en me plaquant ses doigts pleins de jus de Camille sur la bouche. Par instinct et envie, je les léchais ne voulant perdre le bon fluide de ma chérie.
- Camille ? Demandais-je d'un regard implorant.
- Tais-toi, tu dois m'obéir Ziva, dit elle d'un ton ferme
- Mais...
- SILENCE GROSSE PUTE, hurla Maya, sa main me giflant violemment.
- Bon inutile de le faire attendre plus longtemps, lança Camille, on commence.
Les filles la regardèrent d'un air ravi, baissèrent leurs culottes d'un mouvement rapide, se tournèrent vers moi et relevèrent leur vêtement révélant …. Un pénis.
Maya et Gretchen étaient des transsexuelles !!
Vous êtes des shemales ? Articulais-je.
- Mais c'est qu'elle comprend vite la petite conne, fit Maya ! Gretchen a sa bite depuis trois ans et moi deux. C'est Camille qui nous a contactés disant que tu cherchais un plan en groupe avec des shemales, et bien tu vas être servi sale trou
tu as du marfler laila?
L'attente est de moyenne durée. Sans lumière, le temps est distordu et les repères habituels évaporés. Des pas se font entendre dans l'escalier du bâtiment et une main me palpe le cul. Très vite un doigt passe dans l'ouverture du jeans et me titille la rondelle. Maître Sylvain me souffle à l'oreille : « Mmmmmh, bonne salope! Je vais bien te loper ce soir, j'ai une de ces envies de te faire morfler sale pute! ». Une bonne baffe me fait tressauter et Maître en profite pour me rentrer son index profond dans le cul. Il le recourbe et tiraille dans tous les sens assez violemment. Déjà je transpire à l'évocation de ses désirs qui semblent violents à souhait. Ce soir sera mémorable.
Un coup dans les côtes me casse en deux et Il en profite pour tirer le jeans vers le haut, très fort, pour me plaquer contre la porte d'entrée de l'appart. Un deuxième doigt me fouille le rectum et les baffes pleuvent sur mon crâne. Les baffes sur les oreilles me tintent dans le cerveau, j'aime! Il déverrouille la porte d'entrée et me jette au sol. Je reste stoïque et attends l'avalanche de coups qui ne sauraient tarder. Maître me connaît et patiente en se mettant à l'aise, Il se dévêt et accroche sa veste, se sert un whisky, le sirote un peu. Puis un bon coup de ses souliers me replonge dans mes affres, suivi de bien d'autres dans le ventre, les côtes et surtout au cul. Maître aime beaucoup mon cul. C'est ce qui lui a plu en moi lors de notre première rencontre. Musclé, souple, rond, doux et aimant les fessées. Alors que les coups s'arrêtent, Maître me prend violemment aux cheveux au travers du sac plastique et me relève. Cinq baffes claquent et son genou me frappe les couilles. Je retombe. « Lève-toi salope et désape-toi. Vite! ». Le sac sur la tête, sans doute en vacillant, je me redresse et ôte mon T-shirt, me courbe comme en cours de gym (les genoux droits) pour me délacer les baskets. Maître apprécie et me doigte l'anus par le trou du jeans. Il me redresse par les cheveux et me plante son doigt en bouche. « Suce salope ! ». J'obtempère en me tortillant comme une pute pour sortir du jeans. Ma bite est collée aux abdos et suinte déjà. Le gel est à la banane, j’adore trop ! Le mélange banane secrétions annales est magique.
Maître me regarde sucer, je sais qu’il apprécie. Je me retrouve seul quelques instants, le temps pour Maître de chercher les accessoires nécessaires à ma mise en condition pour le satisfaire buccalement. Mes lèvres sont pour lui, comme ma gorge et mes convulsions, source de plaisir intense. Maître revient, me menotte les poignets que je gardais croisés dans le dos, et me projette d’un coup de genou au sol, à genoux, afin de bien le sucer. La bouche béante, j’avale sa bite en tirant bien ma langue pour faciliter son intromission dans ma bouche. Là, je tête, je suce son gland comme l’esclave de sa bite que je suis devenu. A sa fantaisie, Maître me plonge sa bite dans la gorge afin que mes convulsions le stimulent et l’amusent. Je sais qu’Il aime me voir souffrir. Je sais qu’Il sait que j’aime ça et Il en abuse. De longues minutes, Maître m’enfourne sa bite profond en me claquant. «Sale pute, suce ! Prends ça salope !». Je Le sens devenir très dur et Maître me propulse sa bite dans la gorge, derrière la luette et se vide en gueulant « Ah salope ! Sale pute !». Le foutre me remplit, mais j’attends le reste, car Maître aime me remplir de sa pisse après avoir juté. Il se masse la base du sexe resté hors de ma bouche alors que je lui masse doucement le gland de ma langue pour favoriser son sexe à me pisser en bouche. Quelques minutes suffisent pour recevoir ses jets puissants d’urine en bouche. J’avale comme je le peux, la pisse étant toujours écœurante, tout comme boire la pisse est humiliantissime. Maître se finit en me collant la tête à son ventre. « C’est bien salope, t’es une bonne pute » me confie-t-il agrémentant ses mots de deux gifles qui me propulsent au sol.
une bonne salope qui reçoi la pisse !
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