Ma femme Nadia aimait me caresser l'anus. J'aimais fort cette sensation d'interdit.
Je lui ai dit que j'adorais cette caresse. Et puis un jour, elle me dit, puisque tu aimes tant te faire caresser le cul, pourquoi je ne pourrais pas t'enculer avec un de mes godes ? Tu n'aimerais
pas te sentir femme ?
Et c'est vrai que mes amis et amies trouvent que j'ai un corps très féminin.
J'ai accepté et je me suis préparé à me faire prendre. Elle m'a lubrifié mon petit trou, puis doucement, elle a commencé à me rentrer un gode de 4 cm de diamètre. Ça me faisait mal, mais je voulais
recevoir cette queue factice. Elle m'encourageait en me disant qu'une femme doit souffrir un peu avant de jouir. J'ai joui incroyablement, je me sentais hyper femelle, ça a été une découverte
terrible.
On a recommencé ça plusieurs fois, et je dois dire que progressivement, je préférais qu'elle m'encule plutôt que de la baiser. Elle s'en est aperçue, mais ne s'en est pas offusquée.
Un jour, elle m'a proposé qu'on change de rôle : elle s'habille en homme (c'est pas compliqué parce que les femmes sont actuellement habillées en homme la plupart du temps) et moi en femme (là
c'est différent puisque nous les hommes, on met rarement des minijupes et des talons aiguille).
Donc un soir, elle commence à me transformer en femme.
Putain que c'est long et compliqué, mais super excitant. Elle m’a rasé les jambes et les quelques poils de mon torse. Elle m'a maquillé, fond de teint, rouge à lèvres,...Puis porte-jarretelles, bas
brun foncé à couture, soutien et string.
J'étais très troublé et hyper excité.
En me regardant dans le miroir, je me voyais très femelle et même très salope.
Elle était aussi habillée très sexy. Et elle me disait, oui on est deux femelles putes et salopes.
Pour la première fois, je me suis senti entièrement femme puisque c'est elle qui menait le jeu en me godant le cul et en me suçant l'anus, tout en s'enfonçant un gode dans le vagin.
Le lendemain, j'étais épuisé.
Je me sentais vraiment femelle et à chacune de nos soirées, elle m'obligeait à m'habiller à nouveau en femme pour préparer le dîner, ce que je faisais avec plaisir.
Puis un jour, elle m'a dit qu'elle m'offrirait à un de ses amants un jour. J'étais abasourdi. Mais en même temps, j'attendais ce moment avec impatience, partager des hommes avec ma femme, puisque
je devenais aussi une femme.
Après la découverte de ma féminité, je me sentais de plus en plus femelle. J’adorais que ma femme m'encule avec ses godes, mais moi je ne la baisais plus. En fait, au fil du temps, j'adorais
m'habiller en femme sexy, un peu comme elle, qui en tant que coiffeuse était toujours habillée hyper sexe : jupes courtes, talons aiguille, maquillage très précis, et une chevelure très bien
coiffée.
Elle me godait, mais évidemment elle se faisait prendre de plus en plus par ses amants, d'ou des soirées où elle s'absentait de plus en plus longtemps.
Elle « travaillait » parfois les week-ends, pendant lesquels je perfectionnais mon maquillage et mon habillement en femme. Je me suis acheté moi-même des habits et des sous-vêtements féminins. Les
soirs, je m'habillais quasiment tous les jours en femme. Comme elle travaillait tard c'est moi qui faisais le dîner. Finalement, elle rentrait dîner un soir sur 2.
Un soir, elle me téléphone pour me demander si cela ne m'ennuie pas si elle revient dîner avec un de ses amants. J'étais perplexe, habillée en femme très sexy, avec une minijupe au ras des fesses,
des talons aiguille, un maquillage super réussi. Je lui demande s'il est au courant. Oui, justement cela l'excite, me dit-elle. Je lui réponds, ok alors.
J'étais hyper attisé en les attendant.
Ils sont arrivés, elle toujours superbe et sexy. Lui, un bel homme de près de 50 ans. L'apéro a été très chaud. Ils ne s'arrêtaient pas de se caresser et de flirter. Moi je me faisais aussi
caresser les fesses quand je passais leur servir des chips et des olives. Puis, je me suis retrouvée assise à côté de lui, pendant que ma femme est partie à la cuisine terminer la préparation du
repas. Elle nous dit : amusez-vous bien pendant que je ne suis pas là.
Il m'a caressée les cuisses. J'avais mis un panty brun foncé sans slip sous ma minijupe. Il m'a baissé le panty pour me caresser le petit trou. Je mouillais fort parce que j'avais mis du lubrifiant
pour me goder 2 heures auparavant. Il m'a embrassée. On a flirté plusieurs minutes. Je m'abandonnais dans ses bras, en me sentant de plus en plus femelle. Puis, folle de lui, je lui ai dit "prends
moi comme une salope". Je me suis mise à 4 pattes sur le divan et il m'a pénétrée en douceur.
C'était divin. Enfin une vraie queue dans mon ventre de femelle. Elle rentrait facilement après tous les godes que j'avais reçus.
Il a pris son temps. Il m'a limée pendant une dizaine de minutes avant de lâcher son sperme. J'étais heureuse et je me sentais vraiment devenue femme.
On s'est un peu rafraîchis, puis on a dîné à 3. Ils ont été se coucher pour faire l'amour.
Le lendemain matin, il est venu me baiser avant de partir. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai décidé de me faire prendre par des hommes, puisque c'était beaucoup mieux que par des godes ou
des adolescents...
Un samedi quand ma femme était partie vers 10h dans son salon de coiffure, je m'étais habillée très sexy. Une jupe rouge très courte, bas à couture brun foncé, talons aiguille vernis noirs, un
soutien noir sur mes petits seins (par miracle mes seins étaient un peu bombés sans hormone...) dont je m'étais maquillée les bouts en brun foncé, un top en dentelle noire.
Je déambulais dans la maison me regardant dans les miroirs. Je me sentais très pute et je me godais le cul dès que j'en sentais le besoin.
Vers midi, je reçois un coup de téléphone d’un homme qui me dit que c’est ma femme qui l’envoie pour voir s'il peut réparer la machine à laver en panne depuis quelques jours.
20 minutes plus tard, ding dong. J'étais complètement paniquée à l'idée d'ouvrir habillée super sexy à ce technicien. J'ouvre, il entre, sans me dire grand chose, il va directement dans la
buanderie et examine la machine à laver. Il la démonte, chipote pendant 30 minutes, sans me regarder. Je suis finalement très déçue qu'il ne me trouve pas appétissante.
Puis, fier, il revient en me disant voilà c'est réparé, et en me regardant d'un air vicieux, il me dit tu es super sexy, puis il vient contre moi et me dit donne-moi une bière et viens avec moi au
salon. Troublée et rassurée, je me suis exécutée. Je suis venue m'asseoir à côté de lui sur le divan avec 2 bières.
On était tous les 2 très chauds. Je me demandais comment il allait poursuivre. Puis il m'a demandé si je ne voulais pas qu'on essaie de jouer ensemble. Il m'a avoué qu'il était bisexuel et qu'un de
ses phantasmes était de baiser un travesti. J'étais hyper excitée et je lui ai dit que j'aimais me faire prendre et que j'adorais vivre habillée en femme et exciter des hommes pour me faire
prendre.
A partir de ce moment-là, tout s'est détendu rapidement. On se sentait bien tous les deux. Il a commencé à me caresser les cuisses et à m'embrasser. A nouveau, je me sentais de plus en plus femelle
sous ses caresses et ses baisers. Puis il m'a demandé de me mettre à 4 pattes sur le tapis du salon, et il m'a pénétré. Il me disait que j'étais une super salope femelle. Moi j'étais très heureuse
de m'entendre dire ces mots cochons. On a baisé pendant plus d'une heure. Je crois qu'il a giclé 3 fois dans mon ventre. Il est parti vers 16h.
Puis épuisée, j'ai dormi près de 2 heures. Ma femme est revenue vers 19h. J'étais toujours en train de somnoler quand elle est venue m’embrasser en me disant, et bien ma salope tu as bien fait
jouir le technicien. Il lui avait téléphoné pour lui dire que j'étais super bonne.
J'étais un peu soûle, mais c'était bon. Elle m'embrassait en me caressant mon petit trou.
Puis après m'avoir fait jouir, elle m'a annoncé l'arrivée d'un de ses amants. Après m'être endormie sur le divan en attendant son amant, j'ai entendu des soupirs venant de la chambre.
Je me suis levée, titubante, pour aller voir ce qu'elle faisait. J'ai alors vu qui était son amant : le technicien qui la pénétrait avec des coups délicats pour la faire jouir au mieux. J'ai
observé sans être vue ses pénétrations délicates. C'était un amant merveilleux. Puis ma femme a explosé en criant des mots obscènes du style : fils de pute, tu m'exploses comme une grosse salope.
commentaire n° :1
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lailatvx
le: 15/05/2012 à 07h51
commentaire n° :2
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lailatvx
le: 16/05/2012 à 08h46
Ce que j'aime, moi, c'est sucer!... Je sais que ça peut paraître bizarre, mais je préfère de loin faire une bonne fellation, en y mettant tout mon coeur, que n'importe quoi d'autre, y compris le
coit. Je ressens des sensations beaucoup plus fortes, et il m'arrive souvent, pour ne pas dire à chaque fois, de ressentir des orgasmes intenses au moment où la semence d’un homme se déverse au
fond de ma gorge, ou sur mon visage, ou sur « mes seins », ou partout en fait ;) . C'est fou ce que je ressens à ces moments là, mais je suis alors incontrôlable, et je ne veux plus rien d'autre
que du sperme, du sperme, du sperme... Je m'en délecte, m'en badigeonne le corps, et ne perds jamais une goutte de ce précieux liquide.
Je ne sais pas d'où me vient ce goût pour la semence mâle. Peut être de mon initiation, de mon adolescence?
Lorsque le flot du sperme surgissait d’une bite, j'avais toujours un mouvement de recul, de panique aussi, mais je me ressaisis vite, et remarquai cette odeur tenace et forte qui agitait tous mes
sens. "Goûte, si tu veux", me proposait-on. Je portais ma main à ma bouche, et goûtais des lèvres la semence. Je sentis soudain des spasmes de plus en plus forts, et j'avais l'envie de me frotter
le visage avec du sperme.
Ma 1ère bite sucée était un peu grosse, et je ne pouvais pas la mettre entièrement dans ma bouche, mais je ne m'étais jamais senti aussi excité. J'y mettais les deux mains, la léchais sur toute la
longueur de la verge, jusqu'à l’énorme gland que j'arrivais à peine à introduire en entier entre mes lèvres. Vient enfin le moment où je sentais le pénis grossir encore un peu, et s'agiter
convulsivement... Je sentis soudain un jet puissant qui vint jusqu'au fond de ma gorge. Je toussais un peu, et ne pus m'empêcher de retirer le gland de ma bouche. Mais c'était pour mieux recevoir
les jets suivants sur mon visage, sur mes cheveux... On m'en avait mis partout, mais je n'étais pas du tout dégoûté, au contraire... Spontanément, je me mettais à nettoyer le sexe avec ma langue,
et j'adorais ça.
Tous les jours de la semaine, ou presque, je prodiguais à mes camarades de classe leur petite fellation du jour, en échange de petits cadeaux. J'avais pris mes petites habitudes: mes parents
n'étaient quasiment jamais là le matin, alors mes camarades me rendaient visite et, à la fin, je les suçais jusqu'à ce qu'ils jouissent sur moi (je prétextais que je n'aimais pas trop le goût du
sperme (alors qu'en fait, j'adorais ça...) et leur demandais de jouir sur mon visage, ou sur mes petits seins. Ils s'en allaient alors, après un bref remerciement, et c'est à ce moment là que
j'assouvissais mes envies: je m'enfermais dans la salle de bain, et je passais le reste de la matinée à me caresser tout en buvant petit à petit leur sperme. Je commençais par l'étaler sur mon
corps avant de me lécher un à un les doigts...
A ce moment là, il suffisait que je frôle mon petit bouton pour que j'explose. Ces jouissances me laissaient littéralement anéantie, et je retournais souvent me coucher jusqu'au retour de mes
parents…
commentaire n° :3
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lailatvx
le: 16/05/2012 à 08h51
si ça ne vous donne pas envie d'arroser Laila de foutre !!
commentaire n° :4
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lailatvx
le: 17/05/2012 à 13h25
le concierge du lycée:
Il m'est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m'imaginant en train de me faire violer par un homme après l'avoir sucé. Sucer la queue d'un homme est
une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j'aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C'est le principe du fantasme : ça s'imagine. De toute façon, durant mon
adolescence, trop d'appréhensions et une énorme timidité m'ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j'ai eu envie de m'exciter en lisant quelques histoires érotiques. J'en ai lu plusieurs qui m'ont bien excité et notamment celles qui racontaient l'expérience
réelle ou inventée d'un homme qui pour la première fois avait fait l'expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C'est donc bien excité que j'ai décidé d'aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée où j'étais à Rabat (Maroc).
Au moment où je pousse la porte des W-C, je m'aperçois que le concierge chargé de l'entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans
une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m'en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber
doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s'était pas passé plus de 45 secondes que j'entends qu'on frappe légèrement à la porte. Surpris, j'arrête tout et je m'immobilise pour rester dans un silence complet. J'hésite à répondre,
étonné que quelqu'un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J'ai d'abord cru à une erreur, que quelqu'un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes étaient occupées
mais lorsque j'entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j'attends toujours en silence lorsque j'entends de nouveau « allez ouvre moi, je
sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j'entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te
branles dans les chiottes ».
Alors là, je m'empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d'eau et j'ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j'étais tout simplement sur le trône en train de
chier et que ces élucubrations n'avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l'autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé, il me pousse vers le fond des chiottes et referme la
porte derrière lui.
- Alors c'était bon ? Me demande t'il.
Trop surpris par son intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c'est pas la peine de nier, je t'ai entendu, d'ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon
pantalon à l'endroit ou effectivement mon zob encore à moitié tendu fait une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m'obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirai rien à personne ».
A ce moment, j'ai conscience que j'aurais pu m'en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d'obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les
élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu'il n'aurait pas pris le risque et qu'il m'aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte
et une certaine excitation, je n'ai pas dit ce que j'avais l'intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d'accord mais n'en profite pas ». Après
coup je me dis que dire « n'en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l'émotion peut faire dire n'importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m'étais débarrassé brusquement de ma personnalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme.
Je ne sais toujours pas comment j'ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d'histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu'il
était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c'était pour moi l'occasion d'assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j'allais peut être passer le reste de ma
vie à le regretter.
« D'accord, ne t 'inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m'a t'il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j'ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu'à mes chevilles. Il m'a fait asseoir, les
fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé son pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu'il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».
Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible
sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l'autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c'est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c'est bon ». Au bout de quelques minutes je l'ai senti se durcir de plus en plus et il
m'arrêté d'un geste. Il m'a dit « tu vois que ce n'est pas si désagréable que ça et maintenant passons aux choses sérieuses ».
Il n'était pas très difficile de deviner ce qu'il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j'étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m'a retourné et, en m'appuyant sur le dos, m'a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l'air, offert, à provoqué
en moi une brusque montée d'excitation. Enfin j'allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j'avais honte, j'étais entièrement soumis et j'appréhendais : est ce que
j'aurais mal, est ce que j'allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l'ai jamais fait » et il m'a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu'il m'a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s'est baissé, j'ai senti ses mains m'écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l'anus.
A ce moment j'ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l'ai senti introduire un premier doigt, qu'il a remué dans mon cul en
faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J'avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d'en
introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dit, alors il m'a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul ma chérie ».
A ce moment j'ai senti son sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j'étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j'ai senti soudain que son gland avait
passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j'appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de
plus en plus. Tout à coup, il m'a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé brutalement d'un coup sec. J'ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les
toilettes et n'importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu'il a bien été calé au fond de moi, il m'a laissé le temps de m'accoutumer et la douleur s'est un peu estompée. Puis je l'ai
senti m'écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d'un moment m'a procuré d'étranges sensations. C'est vraiment à ce moment que j'ai pris conscience que je me
faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d'une manière complètement soumise. A partir de ce moment j'ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais
mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire facilement. Je ne pouvais m'empêcher de gémir doucement ce qui renforçait ce sentiment d'être dans la peau d'une femme soumise. Il me
disait « c'est bon hein ! T'aime ça te faire défoncer le cul ! » Ou « je te l'avais dit que tu aimerais ça, tu vas voir, tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m'écartant les fesses et en me répétant « putain qu'est ce qu'il est bon ce cul ...qu'est ce
qu'il est bon ! »....pendant ce qui m'a semblé une éternité puis j'ai senti des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi, il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après
avoir soufflé quelques secondes, il s'est retiré assez brusquement, s'est rhabillé sans dire un mot, m'a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte
derrière lui.
Je n'ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mu
commentaire n° :5
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lailatvx
le: 19/05/2012 à 09h15
commentaire n° :6
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lailatvx
le: 20/05/2012 à 12h05
Nous sommes partis pour une semaine en stage de formation à Casablanca (Maroc), avec mon collègue Aziz, 35 ans, grand, brun, viril, musclé, un vrai sportif.
Nous sommes partis la veille, le dimanche après midi pour être à l'heure le lundi, car les cours débutaient à 8 H 30.
Aziz avait réservé l'hôtel un peu tard, et du fait de salons professionnels, nous n'avions pu avoir qu'une chambre à deux lits.
Arrivés, nous avons déposé nos bagages à l'hôtel et nous sommes allés dîner.
Une fois rentrés à l'hôtel, nous nous sommes couchés, et je me suis endormi profondément.
Dans la nuit, j'ai été un peu réveillé par une drôle de sensation : Je sentais quelque chose me frotter le visage, le nez, les lèvres, je pensais peut-être à une mouche qui se posait sur moi.
Mais, tout à coup, je me suis vraiment réveillé : Ce que je ressentais sur le visage était dur, je me réveillai en sursaut, c'était un SEXE d'homme !!!!
Aziz était monté sur mon lit, il était NU, et, à genoux, me promenait son sexe sur le visage !!
Je voulus me lever, mais il me repoussa en arrière, et mit ses deux genoux sur mes deux épaules, me bloquant.
Il me dit : " calme-toi ! Calme toi "…
Je détournai le visage, ce qui ne sembla pas le perturber : il me donna plusieurs coups violents de son sexe sur la joue, comme pour me " battre ".
Il me tira la tête pour me remettre face à lui, dirigea son sexe sur mes lèvres : " allez, SUCE ! " " Suce…suce "
Je ne voulais pas, fermais les lèvres obstinément.
Il continua à tenter de forcer mes lèvres avec son sexe raide.
Tout à coup, son bras partit en arrière, et il se mit à me caresser le sexe à travers mon slip !
Il le caressait, ou empoignait sexe et boules avec sa main ; " allez, bande un peu… excite toi un peu… " " Tu as un petit paquet dis donc… "
Il arrêta pour tenter encore de forcer ma bouche...
Il me dit " Bon, tu vas me lécher un peu les couilles ! "
Il se rehaussa, pour placer ses couilles sur mes lèvres.
J'étais dégoûté, mais je ne pouvais rien faire, j'étais bloqué totalement.
Je résistais, mais j'avais maintenant ses couilles sur mes lèvres, sur ma bouche : je ne pouvais rien faire, j'étais même étouffé.
Et ce qui devait arriver arriva : je dus un peu ouvrir la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour appuyer plus, et, ainsi, ses couilles pénétrèrent entre mes lèvres.
" C'est bien " dit-il …
J'avais maintenant ses couilles bloquées entre mes lèvres.
Il me dit : " Allez, maintenant, LA LANGUE ! "
" Allez, bouge ta langue ! "
Je ne bougeais pas, mais au bout d'un moment, vaincu, je bougeais un peu ma langue sur ses boules.
" Ah, ça commence à venir… c'est bien… "
" Tu vois que ce n'est pas si terrible "
" Bien…. "
" Bon, je vais me retirer, mais après tu me lécheras les couilles en sortant la langue… C'est COMPRIS ? "
" Tu ne feras pas la mauvaise tête... Tu lécheras bien ? "
Vaincu, je fis " oui " de la tête.
Il retira ses couilles et les plaça, pendantes, au-dessus de ma bouche.
Je fus bien obligé d'être " coopératif ", et de faire ce qu'il voulait.
C'est ainsi que je lui léchai les couilles, sortant ma langue.
" Oui. Comme ça… "
" Sors bien ta langue… Sors-la bien "
" Fais-la bien bouger "
Au bout d'un moment, il me dit : " Bon, maintenant, tu vas me bouffer le cul ! "
Je lui dis " non… non ! Pas çà !"
Il m'a répondu : " Fais pas chier… Tu vas me BOUFFER LE CUL je te dis "
Il se retourna, et ses fesses arrivèrent sur mon visage.
" Ecarte mes fesses avec tes mains et LECHE ! "
J'étais étouffé.
Au bout d'un moment, je dus obéir.
C'est ainsi que je dus faire ce qu'il voulait.
" Ah oui… c'est bon…. "
" Ah oui ta langue sur mon cul… "
" Lèche... lèche-moi bien, salope "
Cela dura un moment.
Il se retira, revînt face à moi.
" Retire ton t-shirt ! "
J'obéis, je me relevai doucement pour enlever le t-shirt, tandis qu'il se reculait, prenait mon slip à deux mains, le tirait brusquement pour le faire descendre le long de mes jambes.
" Allez ! Le slip aussi ! "
Il me caressa partout, le sexe, les couilles, le ventre, le torse…Me retourna sur le ventre pour caresser mes fesses…
Puis me rallongea sur le dos.
" Bon, tu vas me sucer, maintenant ! "
Il bandait toujours, revînt sur moi.
Je ne voulais pas…
" Puisque c'est comme ça, tu vas me bouffer le cul ! "
Il se remit en position et je dus recommencer à lui donner cette caresse.
Je lui léchais l'anus depuis un long moment, je n'en pouvais plus, j'étouffais à moitié.
Il me dit " si tu veux arrêter, tu SUCES ! C'est compris ? "
Il me laissa encore lui lécher l'anus, puis demanda " alors, tu SUCES ? "
Vaincu, je fis " oui " de la tête.
Il se retourna.
Il me fît me lever, mis les deux oreillers pour me surélever la tête. Puis il approcha son zob.
" Pour commencer, je vais te le mettre en bouche. Tu n'auras rien à faire. Je vais t'apprendre. "
" Pour t'habituer, je vais TE PRENDRE LA BOUCHE. Ensuite seulement, tu apprendras à pomper "
Il me mit son zob dans la bouche, qu'il enfonça, enfonça, je crus étouffer.
J'avais une drôle et terrible sensation d'avoir la bouche envahie par ce gros machin de chair, et je me rendais compte que moi qui étais tant excité de voir SUCER des femmes et qui les traitais de
" salopes ", je me trouvais maintenant dans leur position, avec un sexe à sucer.
Il sembla satisfait (moi j'étais à moitié étouffé) et commença à faire des allers et retours dans ma bouche, de plus en plus rapides.
Je salivais beaucoup, j'étouffais, mais il s'en fichait et continuait à aller et venir. Il sortit trois fois sa queue pour me laisser reprendre mon souffle, pour me la remettre de plus belle,
quelques instants après...
Au bout d'un moment, il se retira et me dit :
" Allez, lève-toi et vas te mettre à genoux par terre "
J'obéis.
Il vînt près de moi et me dit :
" Bon, maintenant, tu vas SUCER "
Il se tenait devant moi, la queue dressée à hauteur de mon visage.
Quant à moi, je me trouvais dans une chambre d'hôtel, ENTIEREMENT NU, à genoux devant un homme qui attendait que je lui suce le sexe. Je n'avais pas d'autre choix que d'obéir, il était 2 heures du
matin.
Il m'a dit
" Branle-moi un peu pour commencer … ALLEZ ! "
J'obéis.
Je lui pris la queue, et le masturbai doucement.
" Bon, maintenant, POMPE-MOI "
Je pris la queue en bouche, il appréciait, me tenait quelques fois la tête. Puis il me guida dans la fellation.
" Maintenant SORS TA LANGUE ! "
" Ta langue sur le gland… "
" Lèche-moi la queue… lèche les couilles.. Bouffe mes couilles… oui... remonte maintenant "
J'obéissais.
Puis il me remit la queue en bouche, pour continuer la fellation.
Tout à coup, il dit
" AHHH SALOPE… JE VAIS JOUIR !! "
Avant que je ne réagisse, il se retira de ma bouche, prit sa queue à la main, et se mit à jouir sur mon visage !
Je n'avais pas eu le temps de réagir, de me retirer que j'avais reçu le premier jet sur le visage, sur l'œil, le sourcil et le nez. Machinalement, par réflexe, je fermai la bouche et les yeux, et
je sentis le reste arriver, jusque dans mes cheveux.
Il semblait avoir une grosse éjaculation, car ça dura un moment.
Je sentais le sperme dégouliner et couler le long de mes joues, du menton, pour tomber sur la poitrine et les cuisses.
Lui jouissait et parlait.
" Tiens, prends tout, salope "
" Prends mon sperme ! "
Quand ce fût fini, il frotta son sexe contre une de mes joues, puis tenta de forcer ma bouche avec le gland, mais je résistai.
Satisfait, il se recula.
J'essayai d'ouvrir les yeux, mais je sentais que j'avais un sacré placard de sperme sur la paupière gauche…
Je pus néanmoins ouvrir les yeux, je vis du sperme sur ma cuisse et je le sentais couler sur mon visage.
Il me dit :
" Allez, VAS TE LAVER !! Tu as du foutre partout !! "
J'allai à la salle de bains, et quel CHOC lorsque je me vis devant le miroir !!!!
J'avais le visage couvert de sperme !
J'en avais plein sur l'œil, la paupière et la joue gauches, une traînée dans les cheveux, le nez balafré par deux jets, sur les lèvres, et plein sur le menton ! Il en avait coulé sur ma poitrine,
et j'en avais même sur une cuisse !
J'ai du prendre 4 mouchoirs en papier du distributeur de la salle d'eau, avant de pouvoir prendre une douche !
Il prit ensuite lui aussi une douche, revînt dans la chambre où je m'étais remis au lit. Il me dit :
" Non, non … tu viens DANS MON LIT !!! "
" Je veux t'avoir disponible si j'ai une petite envie !! "
Je ne voulais pas, je lui dis que je n'aimais pas les hommes, etc.
Il me dit :
" NE DISCUTE PAS ! CHANGE DE LIT ! "
Je ne voulais pas.
Il dit :
" Tu veux que je vienne te chercher ? Tu as envie de te faire défoncer le cul tout de suite, A SEC ? "
Devant la menace, je tirai le drap et me levai.
" Tu as remis ton t-shirt et ton slip ? "
" RETIRE CA TOUT DE SUITE ! A POIL ! "
Je commençai à être angoissé.
J'enlevai mon t-shirt.
" Alors, tu l'enlèves, ce slip ? "
Puis le slip.
Et je me couchai dans son lit où il vint me rejoindre.
Là, il commença à " s'occuper de moi " …
Il se mit à me caresser la poitrine, tenta de m'embrasser mais je me détournai, alors il m'embrassa d
commentaire n° :7
posté par :
lailatvx
le: 20/05/2012 à 12h12
Je suis Karim (lailatvx), un homme marié de 32ans.
J’avouerais qu’à 32ans, ma sexualité n’était plus aussi débridée, me contentant de rapports conjugaux de moins en moins fréquents. Svelte et pas poilu, je suis l’archétype du mari sans histoire. Il
m’arrive parfois de rentrer déjeuner chez moi entre midi et 2. Je croisais à plusieurs reprises un éboueur qui avait l’habitude de garer sa moto bleue dans ma rue.
Grand gaillard de 50 ans, 1m90 aux épaules larges avec une grosse moustache aussi châtain grisonnante que ses cheveux coupés courts…Le croisant souvent dans sa tenue bleue ciel aux bandes jaune
fluo, nous avions pris l’habitude de nous dire bonjour. Un jour il avait assisté à une dispute entre moi et ma femme devant chez moi en faisant semblant de ne rien entendre.
Le lundi suivant, c’était au mois de mai, il faisait chaud je rentre chez moi entre midi et 2, je le croise et le salue comme d’habitude. Il me salue et me dévisage de façon plus insistante. Je
repense à la scène et je suis gêné qu’il m’ait vu me faire engueuler…
J’ouvre la porte qui donne à mon immeuble et, troublé, je le regarde son balais à la main me suivre du regard…J’envie ce macho bourru qui lui doit mener les meufs à la baguette…Je monte les
escaliers qui mènent à mon appart, la porte de mon immeuble est ancienne et se referme parfois mal. Arrivé en haut, je glisse ma clef dans la serrure d’entrée, ouvre ma porte, entre et au moment de
la refermer, j’ai la surprise de me retrouver avec mon gaillard devant moi qui bloque la porte avec sa grosse botte de chantier.
Là, tout se passe très vite, sans que je l’y ai invité, il entre chez moi, me saisit, me plaque contre lui et sans même refermer la porte, baisse son visage vers moi. Je sens sa grosse moustache
sur mes lèvres… je tente de repousser ce baiser, rouge de surprise, de honte et de peur. Rien n’y fait au contraire, le grand gaillard s’enhardit de plus belle et avance d’un pas pour refermer la
porte. Je me retrouve à la merci de cet homme que je ne connais pas, chez moi dans mon entrée, ses lèvres contre les miennes m’empêchant de respirer. Insistant de plus belle, je sens alors une
grosse langue forcer le passage entre mes lèvres et sa grosse moustache qui frotte sur mon visage…Mon cœur bat la chamade, je ne pense plus à rien et j’ouvre la bouche. C’est alors une explosion de
plaisir qui m’électrise et me paralyse tout le corps. Je ne pense plus à rien et me laisse rouler une grosse galoche par ce mec qui fouille avec sa grosse langue divinement ma bouche. Je suis au 7e
ciel, moi le mec marié.
Il desserre alors l’étreinte et je me surprends à vouloir prolonger sans fin ce baiser langoureux. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et je sens un plaisir immense irradier mon corps comme
jamais auparavant je n’avais éprouvé un tel sentiment.
Sa grosse main se glisse alors dans ma chemise et caresse mon torse. Puis il se met à me lécher la le cou, descend sur ma pomme d’Adam et ouvrant d’un coup sec ma chemise en faisant sauter les
boutons par terre, il me lèche vigoureusement tout le torse, s’attardant sur mes tétons qui se dressent et le creux de mes aisselles.
Je gémis de plaisir, l’extase est trop forte, je suis le jouet de ce bûcheron …Sa langue descend alors vers mon nombril, je tressaille de tout mon corps au contact de cette caresse buccale mais ne
suis pas au bout de mes peines. Car il dégrafe avec autant de vigueur la braguette de mon jeans. Je me retrouve en boxer noir dans les bras de l’éboueur du quartier. Et là oh surprise, le tissu de
celui-ci est gonflé par une magistrale érection, j’ai honte de moi mais j’ai envie que cela dure encore. Là, il descend mon boxer qu’il fait glisser en même temps que mon jeans sur mes talons. En
un clin d’œil il saisit ma queue gonflée, malaxe mes testicules, puis toujours, dans cette entrée, descend sa bouche et me lèche le gland … je craque, et gémis de plaisir, il engloutit ma queue qui
n’est pas grosse. Cela fait une éternité que je n’avais pas été sucé ainsi…Puis lui toujours habillé, je me retrouve à même le sol de mon entrée, couché sur le dos et soulevant avec ses deux bras
mes jambes, revient se positionner sur ma bite. Mon jeans et mon slip viennent
sur son dos puissant en crissant bruyamment dans cette position peu confortable. Il prodigue alors à mes organes génitaux des soins que jamais auparavant je n’avais subis. Il descend et lèche mon
scrotum ce qui me fait littéralement crier de plaisir puis, oh extase des extases, sa langue se fraye un passage au travers de ma raie de mâle déchu jusqu’à ma rosette serrée. Jamais je n’avais pu
imaginer un tel bonheur ! Je n’éprouve alors plus aucune honte, et au contraire, je n’ai plus qu’une seule envie : me faire baiser comme une meuf…
Il en profita pour ôter mes basquets une à une, puis mon jeans et mon slip. Puis il enlève mes chaussettes blanches et me lèche avec délectation les pieds.
Il se relève alors et revient m’embrasser fougueusement. Sans mot dire, on se relève et le prenant par la main, je l’entraîne vers la chambre à coucher. Je le fais asseoir sur le lit conjugal et
j’ôte fébrilement sa veste bleue puis son t-shirt blanc.
Quelle carrure ! Un torse puissant, le double du mien, couvert de poils longs et luisants, châtains grisonnants par endroits, des pectoraux de gladiateur avec des auréoles larges.
Je descends les bretelles de sa combinaison et j’ouvre nerveusement sa braguette. Quelle stupeur, quand j’aperçois le bout de son slip blanc immaculé qui laisse deviner un gros sexe énorme, moulé
dans ce tissu au point de craquer!! Il fut amusé par mon expression et se baissa pour ôter ses grosses chaussures. Il se relève et fait descendre d’un trait, pantalon de combi et slip et se dégagea
pour offrir à ma vue son gros dard. Je me retrouve ainsi face à une queue d’au moins 23 cm, plus épaisse encore que la mienne, droite et aux larges veines apparentes avec un gland énorme en
forme de ballon de rugby. Un peu affolé mais terriblement attiré, je me penche pour soupeser cette énorme saucisse et je suis tout aussi surpris de soupeser d’énormes couilles très pendantes. Son
pubis était lui aussi couvert d’une épaisse toison mais d’un châtain plus vénitien que son corps. Je commence maladroitement à le branler quand il s’assoit sur le lit et écartant les cuisses il me
dit : suce-moi la bite, mec !!!
J’en frissonnais d’envie, et dirigeant mes lèvres vers son sexe, je fus agréablement surpris par l’odeur enivrante qui se dégageait de cette superbe queue. Un doux parfum de propre auquel on ne se
s’attendait pas. M’agrippant par les cheveux, il imprime à ma tête des mouvements qui ont pour conséquence de faire pénétrer son organe viril au
plus profond de ma bouche et de ma gorge. C’est l’extase ! Puis il me couche sur le dos et vient sur moi fourrer à nouveau son sexe dans ma bouche. Puis il vient écraser ses larges fesses rebondies
sur ma figure .Je me hasarde à sortir ma langue et à lui lécher d’abord de façon hésitante puis de façon plus approfondie sa belle rondelle plissée.
Je bande comme un taureau et lui aussi… je n’en peux plus et il le comprend, il se dégage alors et ses yeux dans les miens, il écarte mes cuisses, pose mes jambes sur ses épaules et me demande si
j’ai un préservatif. Je lui en tends un qui se trouve dans la
table de chevet. Il l’enfile, puis crachant dans sa main, il lubrifie son sexe, se penche et vient m’embrasser fougueusement comme pour obtenir mon approbation puis doucement pousse sur mon
sphincter…j’ai mal, mais peu à peu, il rentre sa queue dans mon intimité la plus profonde. Il s’arrête de pousser et se saisit de ma queue et
commence une douce branlette … Puis constatant mon extase, il commence à me besogner d’abord en douceur puis sentant que mon cul s’ouvre, il accentue ses coups de reins virils et puissants comme
s’il niquait une femme ! C est l’extase, je me surprends à l encourager en lui disant :
- Oui vas-y défonce moi ! Oui je suis ta meuf ! Prends moi ! Casse moi le cul ! Mets moi ton manche à balai dans la chatte !
Il accentue ses mouvements comme un forcené tout en me branlant vigoureusement …
Puis dans un ultime assaut, il se contracte et me donne un violent coup de rein et expulse sa semence virile dans mes entrailles meurtries mais protégées. A cet instant, sentant son sexe
tressaillir en moi en plusieurs saccades, je décharge à mon tour.
Inondé de foutre et de sueur, il s’écroule sur moi et me mordille les lobes des oreilles tout en restant en moi comme pour mieux me féconder. Au bout de quelques secondes, il retire sa queue de mon
petit trou de balle béant et vient m’embrasser.
Puis, il se rhabille à la hâte, jette la capote dans les wc après avoir l’avoir remplie d’eau et disparaît sans un mot.
Je me retrouve couché et exténué sur le lit conjugal, le bas ventre gluant de ma semence, me sentant honteux, souillé mais formidablement sailli par mon bel éboueur.
Je retourne au bureau comme sur un nuage. Et le soir venu, j’honore ma femme comme jamais en pensant à mon étalon.
commentaire n° :8
posté par :
lailatvx
le: 21/05/2012 à 08h41
5 vidéos de zoophilie (dossier winzip):
http://www.mediafire.com/?38t29otcnh638fw
commentaire n° :9
posté par :
lailatvx
le: 21/05/2012 à 08h43
cocufiage_elle baise un black devant son mari petite bite:
:
le blog d'un amateur de baise très sale.....uro scat boue crème huile merde sperme....travesti salope (surtout si souillé) bienvenu
avec pleins de photos
Je lui ai dit que j'adorais cette caresse. Et puis un jour, elle me dit, puisque tu aimes tant te faire caresser le cul, pourquoi je ne pourrais pas t'enculer avec un de mes godes ? Tu n'aimerais pas te sentir femme ?
Et c'est vrai que mes amis et amies trouvent que j'ai un corps très féminin.
J'ai accepté et je me suis préparé à me faire prendre. Elle m'a lubrifié mon petit trou, puis doucement, elle a commencé à me rentrer un gode de 4 cm de diamètre. Ça me faisait mal, mais je voulais recevoir cette queue factice. Elle m'encourageait en me disant qu'une femme doit souffrir un peu avant de jouir. J'ai joui incroyablement, je me sentais hyper femelle, ça a été une découverte terrible.
On a recommencé ça plusieurs fois, et je dois dire que progressivement, je préférais qu'elle m'encule plutôt que de la baiser. Elle s'en est aperçue, mais ne s'en est pas offusquée.
Un jour, elle m'a proposé qu'on change de rôle : elle s'habille en homme (c'est pas compliqué parce que les femmes sont actuellement habillées en homme la plupart du temps) et moi en femme (là c'est différent puisque nous les hommes, on met rarement des minijupes et des talons aiguille).
Donc un soir, elle commence à me transformer en femme.
Putain que c'est long et compliqué, mais super excitant. Elle m’a rasé les jambes et les quelques poils de mon torse. Elle m'a maquillé, fond de teint, rouge à lèvres,...Puis porte-jarretelles, bas brun foncé à couture, soutien et string.
J'étais très troublé et hyper excité.
En me regardant dans le miroir, je me voyais très femelle et même très salope.
Elle était aussi habillée très sexy. Et elle me disait, oui on est deux femelles putes et salopes.
Pour la première fois, je me suis senti entièrement femme puisque c'est elle qui menait le jeu en me godant le cul et en me suçant l'anus, tout en s'enfonçant un gode dans le vagin.
Le lendemain, j'étais épuisé.
Je me sentais vraiment femelle et à chacune de nos soirées, elle m'obligeait à m'habiller à nouveau en femme pour préparer le dîner, ce que je faisais avec plaisir.
Puis un jour, elle m'a dit qu'elle m'offrirait à un de ses amants un jour. J'étais abasourdi. Mais en même temps, j'attendais ce moment avec impatience, partager des hommes avec ma femme, puisque je devenais aussi une femme.
Après la découverte de ma féminité, je me sentais de plus en plus femelle. J’adorais que ma femme m'encule avec ses godes, mais moi je ne la baisais plus. En fait, au fil du temps, j'adorais m'habiller en femme sexy, un peu comme elle, qui en tant que coiffeuse était toujours habillée hyper sexe : jupes courtes, talons aiguille, maquillage très précis, et une chevelure très bien coiffée.
Elle me godait, mais évidemment elle se faisait prendre de plus en plus par ses amants, d'ou des soirées où elle s'absentait de plus en plus longtemps.
Elle « travaillait » parfois les week-ends, pendant lesquels je perfectionnais mon maquillage et mon habillement en femme. Je me suis acheté moi-même des habits et des sous-vêtements féminins. Les soirs, je m'habillais quasiment tous les jours en femme. Comme elle travaillait tard c'est moi qui faisais le dîner. Finalement, elle rentrait dîner un soir sur 2.
Un soir, elle me téléphone pour me demander si cela ne m'ennuie pas si elle revient dîner avec un de ses amants. J'étais perplexe, habillée en femme très sexy, avec une minijupe au ras des fesses, des talons aiguille, un maquillage super réussi. Je lui demande s'il est au courant. Oui, justement cela l'excite, me dit-elle. Je lui réponds, ok alors.
J'étais hyper attisé en les attendant.
Ils sont arrivés, elle toujours superbe et sexy. Lui, un bel homme de près de 50 ans. L'apéro a été très chaud. Ils ne s'arrêtaient pas de se caresser et de flirter. Moi je me faisais aussi caresser les fesses quand je passais leur servir des chips et des olives. Puis, je me suis retrouvée assise à côté de lui, pendant que ma femme est partie à la cuisine terminer la préparation du repas. Elle nous dit : amusez-vous bien pendant que je ne suis pas là.
Il m'a caressée les cuisses. J'avais mis un panty brun foncé sans slip sous ma minijupe. Il m'a baissé le panty pour me caresser le petit trou. Je mouillais fort parce que j'avais mis du lubrifiant pour me goder 2 heures auparavant. Il m'a embrassée. On a flirté plusieurs minutes. Je m'abandonnais dans ses bras, en me sentant de plus en plus femelle. Puis, folle de lui, je lui ai dit "prends moi comme une salope". Je me suis mise à 4 pattes sur le divan et il m'a pénétrée en douceur.
C'était divin. Enfin une vraie queue dans mon ventre de femelle. Elle rentrait facilement après tous les godes que j'avais reçus.
Il a pris son temps. Il m'a limée pendant une dizaine de minutes avant de lâcher son sperme. J'étais heureuse et je me sentais vraiment devenue femme.
On s'est un peu rafraîchis, puis on a dîné à 3. Ils ont été se coucher pour faire l'amour.
Le lendemain matin, il est venu me baiser avant de partir. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai décidé de me faire prendre par des hommes, puisque c'était beaucoup mieux que par des godes ou des adolescents...
Un samedi quand ma femme était partie vers 10h dans son salon de coiffure, je m'étais habillée très sexy. Une jupe rouge très courte, bas à couture brun foncé, talons aiguille vernis noirs, un soutien noir sur mes petits seins (par miracle mes seins étaient un peu bombés sans hormone...) dont je m'étais maquillée les bouts en brun foncé, un top en dentelle noire.
Je déambulais dans la maison me regardant dans les miroirs. Je me sentais très pute et je me godais le cul dès que j'en sentais le besoin.
Vers midi, je reçois un coup de téléphone d’un homme qui me dit que c’est ma femme qui l’envoie pour voir s'il peut réparer la machine à laver en panne depuis quelques jours.
20 minutes plus tard, ding dong. J'étais complètement paniquée à l'idée d'ouvrir habillée super sexy à ce technicien. J'ouvre, il entre, sans me dire grand chose, il va directement dans la buanderie et examine la machine à laver. Il la démonte, chipote pendant 30 minutes, sans me regarder. Je suis finalement très déçue qu'il ne me trouve pas appétissante.
Puis, fier, il revient en me disant voilà c'est réparé, et en me regardant d'un air vicieux, il me dit tu es super sexy, puis il vient contre moi et me dit donne-moi une bière et viens avec moi au salon. Troublée et rassurée, je me suis exécutée. Je suis venue m'asseoir à côté de lui sur le divan avec 2 bières.
On était tous les 2 très chauds. Je me demandais comment il allait poursuivre. Puis il m'a demandé si je ne voulais pas qu'on essaie de jouer ensemble. Il m'a avoué qu'il était bisexuel et qu'un de ses phantasmes était de baiser un travesti. J'étais hyper excitée et je lui ai dit que j'aimais me faire prendre et que j'adorais vivre habillée en femme et exciter des hommes pour me faire prendre.
A partir de ce moment-là, tout s'est détendu rapidement. On se sentait bien tous les deux. Il a commencé à me caresser les cuisses et à m'embrasser. A nouveau, je me sentais de plus en plus femelle sous ses caresses et ses baisers. Puis il m'a demandé de me mettre à 4 pattes sur le tapis du salon, et il m'a pénétré. Il me disait que j'étais une super salope femelle. Moi j'étais très heureuse de m'entendre dire ces mots cochons. On a baisé pendant plus d'une heure. Je crois qu'il a giclé 3 fois dans mon ventre. Il est parti vers 16h.
Puis épuisée, j'ai dormi près de 2 heures. Ma femme est revenue vers 19h. J'étais toujours en train de somnoler quand elle est venue m’embrasser en me disant, et bien ma salope tu as bien fait jouir le technicien. Il lui avait téléphoné pour lui dire que j'étais super bonne.
J'étais un peu soûle, mais c'était bon. Elle m'embrassait en me caressant mon petit trou.
Puis après m'avoir fait jouir, elle m'a annoncé l'arrivée d'un de ses amants. Après m'être endormie sur le divan en attendant son amant, j'ai entendu des soupirs venant de la chambre.
Je me suis levée, titubante, pour aller voir ce qu'elle faisait. J'ai alors vu qui était son amant : le technicien qui la pénétrait avec des coups délicats pour la faire jouir au mieux. J'ai observé sans être vue ses pénétrations délicates. C'était un amant merveilleux. Puis ma femme a explosé en criant des mots obscènes du style : fils de pute, tu m'exploses comme une grosse salope.
Quel jolie reçi Laila!
Je ne sais pas d'où me vient ce goût pour la semence mâle. Peut être de mon initiation, de mon adolescence?
Lorsque le flot du sperme surgissait d’une bite, j'avais toujours un mouvement de recul, de panique aussi, mais je me ressaisis vite, et remarquai cette odeur tenace et forte qui agitait tous mes sens. "Goûte, si tu veux", me proposait-on. Je portais ma main à ma bouche, et goûtais des lèvres la semence. Je sentis soudain des spasmes de plus en plus forts, et j'avais l'envie de me frotter le visage avec du sperme.
Ma 1ère bite sucée était un peu grosse, et je ne pouvais pas la mettre entièrement dans ma bouche, mais je ne m'étais jamais senti aussi excité. J'y mettais les deux mains, la léchais sur toute la longueur de la verge, jusqu'à l’énorme gland que j'arrivais à peine à introduire en entier entre mes lèvres. Vient enfin le moment où je sentais le pénis grossir encore un peu, et s'agiter convulsivement... Je sentis soudain un jet puissant qui vint jusqu'au fond de ma gorge. Je toussais un peu, et ne pus m'empêcher de retirer le gland de ma bouche. Mais c'était pour mieux recevoir les jets suivants sur mon visage, sur mes cheveux... On m'en avait mis partout, mais je n'étais pas du tout dégoûté, au contraire... Spontanément, je me mettais à nettoyer le sexe avec ma langue, et j'adorais ça.
Tous les jours de la semaine, ou presque, je prodiguais à mes camarades de classe leur petite fellation du jour, en échange de petits cadeaux. J'avais pris mes petites habitudes: mes parents n'étaient quasiment jamais là le matin, alors mes camarades me rendaient visite et, à la fin, je les suçais jusqu'à ce qu'ils jouissent sur moi (je prétextais que je n'aimais pas trop le goût du sperme (alors qu'en fait, j'adorais ça...) et leur demandais de jouir sur mon visage, ou sur mes petits seins. Ils s'en allaient alors, après un bref remerciement, et c'est à ce moment là que j'assouvissais mes envies: je m'enfermais dans la salle de bain, et je passais le reste de la matinée à me caresser tout en buvant petit à petit leur sperme. Je commençais par l'étaler sur mon corps avant de me lécher un à un les doigts...
A ce moment là, il suffisait que je frôle mon petit bouton pour que j'explose. Ces jouissances me laissaient littéralement anéantie, et je retournais souvent me coucher jusqu'au retour de mes parents…
si ça ne vous donne pas envie d'arroser Laila de foutre !!
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Il m'est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m'imaginant en train de me faire violer par un homme après l'avoir sucé. Sucer la queue d'un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j'aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C'est le principe du fantasme : ça s'imagine. De toute façon, durant mon adolescence, trop d'appréhensions et une énorme timidité m'ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j'ai eu envie de m'exciter en lisant quelques histoires érotiques. J'en ai lu plusieurs qui m'ont bien excité et notamment celles qui racontaient l'expérience réelle ou inventée d'un homme qui pour la première fois avait fait l'expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C'est donc bien excité que j'ai décidé d'aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée où j'étais à Rabat (Maroc).
Au moment où je pousse la porte des W-C, je m'aperçois que le concierge chargé de l'entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m'en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s'était pas passé plus de 45 secondes que j'entends qu'on frappe légèrement à la porte. Surpris, j'arrête tout et je m'immobilise pour rester dans un silence complet. J'hésite à répondre, étonné que quelqu'un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J'ai d'abord cru à une erreur, que quelqu'un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes étaient occupées mais lorsque j'entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j'attends toujours en silence lorsque j'entends de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j'entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m'empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d'eau et j'ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j'étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n'avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l'autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé, il me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
- Alors c'était bon ? Me demande t'il.
Trop surpris par son intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c'est pas la peine de nier, je t'ai entendu, d'ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l'endroit ou effectivement mon zob encore à moitié tendu fait une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m'obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirai rien à personne ».
A ce moment, j'ai conscience que j'aurais pu m'en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d'obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu'il n'aurait pas pris le risque et qu'il m'aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n'ai pas dit ce que j'avais l'intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d'accord mais n'en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n'en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l'émotion peut faire dire n'importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m'étais débarrassé brusquement de ma personnalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme.
Je ne sais toujours pas comment j'ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d'histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu'il était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c'était pour moi l'occasion d'assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j'allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D'accord, ne t 'inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m'a t'il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j'ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu'à mes chevilles. Il m'a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé son pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu'il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».
Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l'autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c'est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c'est bon ». Au bout de quelques minutes je l'ai senti se durcir de plus en plus et il m'arrêté d'un geste. Il m'a dit « tu vois que ce n'est pas si désagréable que ça et maintenant passons aux choses sérieuses ».
Il n'était pas très difficile de deviner ce qu'il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j'étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m'a retourné et, en m'appuyant sur le dos, m'a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l'air, offert, à provoqué en moi une brusque montée d'excitation. Enfin j'allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j'avais honte, j'étais entièrement soumis et j'appréhendais : est ce que j'aurais mal, est ce que j'allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l'ai jamais fait » et il m'a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu'il m'a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s'est baissé, j'ai senti ses mains m'écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l'anus. A ce moment j'ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l'ai senti introduire un premier doigt, qu'il a remué dans mon cul en faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J'avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d'en introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dit, alors il m'a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul ma chérie ».
A ce moment j'ai senti son sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j'étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j'ai senti soudain que son gland avait passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j'appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de plus en plus. Tout à coup, il m'a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé brutalement d'un coup sec. J'ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les toilettes et n'importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu'il a bien été calé au fond de moi, il m'a laissé le temps de m'accoutumer et la douleur s'est un peu estompée. Puis je l'ai senti m'écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d'un moment m'a procuré d'étranges sensations. C'est vraiment à ce moment que j'ai pris conscience que je me faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d'une manière complètement soumise. A partir de ce moment j'ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire facilement. Je ne pouvais m'empêcher de gémir doucement ce qui renforçait ce sentiment d'être dans la peau d'une femme soumise. Il me disait « c'est bon hein ! T'aime ça te faire défoncer le cul ! » Ou « je te l'avais dit que tu aimerais ça, tu vas voir, tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m'écartant les fesses et en me répétant « putain qu'est ce qu'il est bon ce cul ...qu'est ce qu'il est bon ! »....pendant ce qui m'a semblé une éternité puis j'ai senti des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi, il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après avoir soufflé quelques secondes, il s'est retiré assez brusquement, s'est rhabillé sans dire un mot, m'a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte derrière lui.
Je n'ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mu
quel beau récit!
Nous sommes partis la veille, le dimanche après midi pour être à l'heure le lundi, car les cours débutaient à 8 H 30.
Aziz avait réservé l'hôtel un peu tard, et du fait de salons professionnels, nous n'avions pu avoir qu'une chambre à deux lits.
Arrivés, nous avons déposé nos bagages à l'hôtel et nous sommes allés dîner.
Une fois rentrés à l'hôtel, nous nous sommes couchés, et je me suis endormi profondément.
Dans la nuit, j'ai été un peu réveillé par une drôle de sensation : Je sentais quelque chose me frotter le visage, le nez, les lèvres, je pensais peut-être à une mouche qui se posait sur moi.
Mais, tout à coup, je me suis vraiment réveillé : Ce que je ressentais sur le visage était dur, je me réveillai en sursaut, c'était un SEXE d'homme !!!!
Aziz était monté sur mon lit, il était NU, et, à genoux, me promenait son sexe sur le visage !!
Je voulus me lever, mais il me repoussa en arrière, et mit ses deux genoux sur mes deux épaules, me bloquant.
Il me dit : " calme-toi ! Calme toi "…
Je détournai le visage, ce qui ne sembla pas le perturber : il me donna plusieurs coups violents de son sexe sur la joue, comme pour me " battre ".
Il me tira la tête pour me remettre face à lui, dirigea son sexe sur mes lèvres : " allez, SUCE ! " " Suce…suce "
Je ne voulais pas, fermais les lèvres obstinément.
Il continua à tenter de forcer mes lèvres avec son sexe raide.
Tout à coup, son bras partit en arrière, et il se mit à me caresser le sexe à travers mon slip !
Il le caressait, ou empoignait sexe et boules avec sa main ; " allez, bande un peu… excite toi un peu… " " Tu as un petit paquet dis donc… "
Il arrêta pour tenter encore de forcer ma bouche...
Il me dit " Bon, tu vas me lécher un peu les couilles ! "
Il se rehaussa, pour placer ses couilles sur mes lèvres.
J'étais dégoûté, mais je ne pouvais rien faire, j'étais bloqué totalement.
Je résistais, mais j'avais maintenant ses couilles sur mes lèvres, sur ma bouche : je ne pouvais rien faire, j'étais même étouffé.
Et ce qui devait arriver arriva : je dus un peu ouvrir la bouche pour reprendre mon souffle, et il en profita pour appuyer plus, et, ainsi, ses couilles pénétrèrent entre mes lèvres.
" C'est bien " dit-il …
J'avais maintenant ses couilles bloquées entre mes lèvres.
Il me dit : " Allez, maintenant, LA LANGUE ! "
" Allez, bouge ta langue ! "
Je ne bougeais pas, mais au bout d'un moment, vaincu, je bougeais un peu ma langue sur ses boules.
" Ah, ça commence à venir… c'est bien… "
" Tu vois que ce n'est pas si terrible "
" Bien…. "
" Bon, je vais me retirer, mais après tu me lécheras les couilles en sortant la langue… C'est COMPRIS ? "
" Tu ne feras pas la mauvaise tête... Tu lécheras bien ? "
Vaincu, je fis " oui " de la tête.
Il retira ses couilles et les plaça, pendantes, au-dessus de ma bouche.
Je fus bien obligé d'être " coopératif ", et de faire ce qu'il voulait.
C'est ainsi que je lui léchai les couilles, sortant ma langue.
" Oui. Comme ça… "
" Sors bien ta langue… Sors-la bien "
" Fais-la bien bouger "
Au bout d'un moment, il me dit : " Bon, maintenant, tu vas me bouffer le cul ! "
Je lui dis " non… non ! Pas çà !"
Il m'a répondu : " Fais pas chier… Tu vas me BOUFFER LE CUL je te dis "
Il se retourna, et ses fesses arrivèrent sur mon visage.
" Ecarte mes fesses avec tes mains et LECHE ! "
J'étais étouffé.
Au bout d'un moment, je dus obéir.
C'est ainsi que je dus faire ce qu'il voulait.
" Ah oui… c'est bon…. "
" Ah oui ta langue sur mon cul… "
" Lèche... lèche-moi bien, salope "
Cela dura un moment.
Il se retira, revînt face à moi.
" Retire ton t-shirt ! "
J'obéis, je me relevai doucement pour enlever le t-shirt, tandis qu'il se reculait, prenait mon slip à deux mains, le tirait brusquement pour le faire descendre le long de mes jambes.
" Allez ! Le slip aussi ! "
Il me caressa partout, le sexe, les couilles, le ventre, le torse…Me retourna sur le ventre pour caresser mes fesses…
Puis me rallongea sur le dos.
" Bon, tu vas me sucer, maintenant ! "
Il bandait toujours, revînt sur moi.
Je ne voulais pas…
" Puisque c'est comme ça, tu vas me bouffer le cul ! "
Il se remit en position et je dus recommencer à lui donner cette caresse.
Je lui léchais l'anus depuis un long moment, je n'en pouvais plus, j'étouffais à moitié.
Il me dit " si tu veux arrêter, tu SUCES ! C'est compris ? "
Il me laissa encore lui lécher l'anus, puis demanda " alors, tu SUCES ? "
Vaincu, je fis " oui " de la tête.
Il se retourna.
Il me fît me lever, mis les deux oreillers pour me surélever la tête. Puis il approcha son zob.
" Pour commencer, je vais te le mettre en bouche. Tu n'auras rien à faire. Je vais t'apprendre. "
" Pour t'habituer, je vais TE PRENDRE LA BOUCHE. Ensuite seulement, tu apprendras à pomper "
Il me mit son zob dans la bouche, qu'il enfonça, enfonça, je crus étouffer.
J'avais une drôle et terrible sensation d'avoir la bouche envahie par ce gros machin de chair, et je me rendais compte que moi qui étais tant excité de voir SUCER des femmes et qui les traitais de " salopes ", je me trouvais maintenant dans leur position, avec un sexe à sucer.
Il sembla satisfait (moi j'étais à moitié étouffé) et commença à faire des allers et retours dans ma bouche, de plus en plus rapides.
Je salivais beaucoup, j'étouffais, mais il s'en fichait et continuait à aller et venir. Il sortit trois fois sa queue pour me laisser reprendre mon souffle, pour me la remettre de plus belle, quelques instants après...
Au bout d'un moment, il se retira et me dit :
" Allez, lève-toi et vas te mettre à genoux par terre "
J'obéis.
Il vînt près de moi et me dit :
" Bon, maintenant, tu vas SUCER "
Il se tenait devant moi, la queue dressée à hauteur de mon visage.
Quant à moi, je me trouvais dans une chambre d'hôtel, ENTIEREMENT NU, à genoux devant un homme qui attendait que je lui suce le sexe. Je n'avais pas d'autre choix que d'obéir, il était 2 heures du matin.
Il m'a dit
" Branle-moi un peu pour commencer … ALLEZ ! "
J'obéis.
Je lui pris la queue, et le masturbai doucement.
" Bon, maintenant, POMPE-MOI "
Je pris la queue en bouche, il appréciait, me tenait quelques fois la tête. Puis il me guida dans la fellation.
" Maintenant SORS TA LANGUE ! "
" Ta langue sur le gland… "
" Lèche-moi la queue… lèche les couilles.. Bouffe mes couilles… oui... remonte maintenant "
J'obéissais.
Puis il me remit la queue en bouche, pour continuer la fellation.
Tout à coup, il dit
" AHHH SALOPE… JE VAIS JOUIR !! "
Avant que je ne réagisse, il se retira de ma bouche, prit sa queue à la main, et se mit à jouir sur mon visage !
Je n'avais pas eu le temps de réagir, de me retirer que j'avais reçu le premier jet sur le visage, sur l'œil, le sourcil et le nez. Machinalement, par réflexe, je fermai la bouche et les yeux, et je sentis le reste arriver, jusque dans mes cheveux.
Il semblait avoir une grosse éjaculation, car ça dura un moment.
Je sentais le sperme dégouliner et couler le long de mes joues, du menton, pour tomber sur la poitrine et les cuisses.
Lui jouissait et parlait.
" Tiens, prends tout, salope "
" Prends mon sperme ! "
Quand ce fût fini, il frotta son sexe contre une de mes joues, puis tenta de forcer ma bouche avec le gland, mais je résistai.
Satisfait, il se recula.
J'essayai d'ouvrir les yeux, mais je sentais que j'avais un sacré placard de sperme sur la paupière gauche…
Je pus néanmoins ouvrir les yeux, je vis du sperme sur ma cuisse et je le sentais couler sur mon visage.
Il me dit :
" Allez, VAS TE LAVER !! Tu as du foutre partout !! "
J'allai à la salle de bains, et quel CHOC lorsque je me vis devant le miroir !!!!
J'avais le visage couvert de sperme !
J'en avais plein sur l'œil, la paupière et la joue gauches, une traînée dans les cheveux, le nez balafré par deux jets, sur les lèvres, et plein sur le menton ! Il en avait coulé sur ma poitrine, et j'en avais même sur une cuisse !
J'ai du prendre 4 mouchoirs en papier du distributeur de la salle d'eau, avant de pouvoir prendre une douche !
Il prit ensuite lui aussi une douche, revînt dans la chambre où je m'étais remis au lit. Il me dit :
" Non, non … tu viens DANS MON LIT !!! "
" Je veux t'avoir disponible si j'ai une petite envie !! "
Je ne voulais pas, je lui dis que je n'aimais pas les hommes, etc.
Il me dit :
" NE DISCUTE PAS ! CHANGE DE LIT ! "
Je ne voulais pas.
Il dit :
" Tu veux que je vienne te chercher ? Tu as envie de te faire défoncer le cul tout de suite, A SEC ? "
Devant la menace, je tirai le drap et me levai.
" Tu as remis ton t-shirt et ton slip ? "
" RETIRE CA TOUT DE SUITE ! A POIL ! "
Je commençai à être angoissé.
J'enlevai mon t-shirt.
" Alors, tu l'enlèves, ce slip ? "
Puis le slip.
Et je me couchai dans son lit où il vint me rejoindre.
Là, il commença à " s'occuper de moi " …
Il se mit à me caresser la poitrine, tenta de m'embrasser mais je me détournai, alors il m'embrassa d
encore un tres beau récit! très excitant!!
J’avouerais qu’à 32ans, ma sexualité n’était plus aussi débridée, me contentant de rapports conjugaux de moins en moins fréquents. Svelte et pas poilu, je suis l’archétype du mari sans histoire. Il m’arrive parfois de rentrer déjeuner chez moi entre midi et 2. Je croisais à plusieurs reprises un éboueur qui avait l’habitude de garer sa moto bleue dans ma rue.
Grand gaillard de 50 ans, 1m90 aux épaules larges avec une grosse moustache aussi châtain grisonnante que ses cheveux coupés courts…Le croisant souvent dans sa tenue bleue ciel aux bandes jaune fluo, nous avions pris l’habitude de nous dire bonjour. Un jour il avait assisté à une dispute entre moi et ma femme devant chez moi en faisant semblant de ne rien entendre.
Le lundi suivant, c’était au mois de mai, il faisait chaud je rentre chez moi entre midi et 2, je le croise et le salue comme d’habitude. Il me salue et me dévisage de façon plus insistante. Je repense à la scène et je suis gêné qu’il m’ait vu me faire engueuler…
J’ouvre la porte qui donne à mon immeuble et, troublé, je le regarde son balais à la main me suivre du regard…J’envie ce macho bourru qui lui doit mener les meufs à la baguette…Je monte les escaliers qui mènent à mon appart, la porte de mon immeuble est ancienne et se referme parfois mal. Arrivé en haut, je glisse ma clef dans la serrure d’entrée, ouvre ma porte, entre et au moment de la refermer, j’ai la surprise de me retrouver avec mon gaillard devant moi qui bloque la porte avec sa grosse botte de chantier.
Là, tout se passe très vite, sans que je l’y ai invité, il entre chez moi, me saisit, me plaque contre lui et sans même refermer la porte, baisse son visage vers moi. Je sens sa grosse moustache sur mes lèvres… je tente de repousser ce baiser, rouge de surprise, de honte et de peur. Rien n’y fait au contraire, le grand gaillard s’enhardit de plus belle et avance d’un pas pour refermer la porte. Je me retrouve à la merci de cet homme que je ne connais pas, chez moi dans mon entrée, ses lèvres contre les miennes m’empêchant de respirer. Insistant de plus belle, je sens alors une grosse langue forcer le passage entre mes lèvres et sa grosse moustache qui frotte sur mon visage…Mon cœur bat la chamade, je ne pense plus à rien et j’ouvre la bouche. C’est alors une explosion de plaisir qui m’électrise et me paralyse tout le corps. Je ne pense plus à rien et me laisse rouler une grosse galoche par ce mec qui fouille avec sa grosse langue divinement ma bouche. Je suis au 7e ciel, moi le mec marié.
Il desserre alors l’étreinte et je me surprends à vouloir prolonger sans fin ce baiser langoureux. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre et je sens un plaisir immense irradier mon corps comme jamais auparavant je n’avais éprouvé un tel sentiment.
Sa grosse main se glisse alors dans ma chemise et caresse mon torse. Puis il se met à me lécher la le cou, descend sur ma pomme d’Adam et ouvrant d’un coup sec ma chemise en faisant sauter les boutons par terre, il me lèche vigoureusement tout le torse, s’attardant sur mes tétons qui se dressent et le creux de mes aisselles.
Je gémis de plaisir, l’extase est trop forte, je suis le jouet de ce bûcheron …Sa langue descend alors vers mon nombril, je tressaille de tout mon corps au contact de cette caresse buccale mais ne suis pas au bout de mes peines. Car il dégrafe avec autant de vigueur la braguette de mon jeans. Je me retrouve en boxer noir dans les bras de l’éboueur du quartier. Et là oh surprise, le tissu de celui-ci est gonflé par une magistrale érection, j’ai honte de moi mais j’ai envie que cela dure encore. Là, il descend mon boxer qu’il fait glisser en même temps que mon jeans sur mes talons. En un clin d’œil il saisit ma queue gonflée, malaxe mes testicules, puis toujours, dans cette entrée, descend sa bouche et me lèche le gland … je craque, et gémis de plaisir, il engloutit ma queue qui n’est pas grosse. Cela fait une éternité que je n’avais pas été sucé ainsi…Puis lui toujours habillé, je me retrouve à même le sol de mon entrée, couché sur le dos et soulevant avec ses deux bras mes jambes, revient se positionner sur ma bite. Mon jeans et mon slip viennent
sur son dos puissant en crissant bruyamment dans cette position peu confortable. Il prodigue alors à mes organes génitaux des soins que jamais auparavant je n’avais subis. Il descend et lèche mon scrotum ce qui me fait littéralement crier de plaisir puis, oh extase des extases, sa langue se fraye un passage au travers de ma raie de mâle déchu jusqu’à ma rosette serrée. Jamais je n’avais pu imaginer un tel bonheur ! Je n’éprouve alors plus aucune honte, et au contraire, je n’ai plus qu’une seule envie : me faire baiser comme une meuf…
Il en profita pour ôter mes basquets une à une, puis mon jeans et mon slip. Puis il enlève mes chaussettes blanches et me lèche avec délectation les pieds.
Il se relève alors et revient m’embrasser fougueusement. Sans mot dire, on se relève et le prenant par la main, je l’entraîne vers la chambre à coucher. Je le fais asseoir sur le lit conjugal et j’ôte fébrilement sa veste bleue puis son t-shirt blanc.
Quelle carrure ! Un torse puissant, le double du mien, couvert de poils longs et luisants, châtains grisonnants par endroits, des pectoraux de gladiateur avec des auréoles larges.
Je descends les bretelles de sa combinaison et j’ouvre nerveusement sa braguette. Quelle stupeur, quand j’aperçois le bout de son slip blanc immaculé qui laisse deviner un gros sexe énorme, moulé dans ce tissu au point de craquer!! Il fut amusé par mon expression et se baissa pour ôter ses grosses chaussures. Il se relève et fait descendre d’un trait, pantalon de combi et slip et se dégagea pour offrir à ma vue son gros dard. Je me retrouve ainsi face à une queue d’au moins 23 cm, plus épaisse encore que la mienne, droite et aux larges veines apparentes avec un gland énorme en
forme de ballon de rugby. Un peu affolé mais terriblement attiré, je me penche pour soupeser cette énorme saucisse et je suis tout aussi surpris de soupeser d’énormes couilles très pendantes. Son pubis était lui aussi couvert d’une épaisse toison mais d’un châtain plus vénitien que son corps. Je commence maladroitement à le branler quand il s’assoit sur le lit et écartant les cuisses il me dit : suce-moi la bite, mec !!!
J’en frissonnais d’envie, et dirigeant mes lèvres vers son sexe, je fus agréablement surpris par l’odeur enivrante qui se dégageait de cette superbe queue. Un doux parfum de propre auquel on ne se s’attendait pas. M’agrippant par les cheveux, il imprime à ma tête des mouvements qui ont pour conséquence de faire pénétrer son organe viril au
plus profond de ma bouche et de ma gorge. C’est l’extase ! Puis il me couche sur le dos et vient sur moi fourrer à nouveau son sexe dans ma bouche. Puis il vient écraser ses larges fesses rebondies sur ma figure .Je me hasarde à sortir ma langue et à lui lécher d’abord de façon hésitante puis de façon plus approfondie sa belle rondelle plissée.
Je bande comme un taureau et lui aussi… je n’en peux plus et il le comprend, il se dégage alors et ses yeux dans les miens, il écarte mes cuisses, pose mes jambes sur ses épaules et me demande si j’ai un préservatif. Je lui en tends un qui se trouve dans la
table de chevet. Il l’enfile, puis crachant dans sa main, il lubrifie son sexe, se penche et vient m’embrasser fougueusement comme pour obtenir mon approbation puis doucement pousse sur mon sphincter…j’ai mal, mais peu à peu, il rentre sa queue dans mon intimité la plus profonde. Il s’arrête de pousser et se saisit de ma queue et
commence une douce branlette … Puis constatant mon extase, il commence à me besogner d’abord en douceur puis sentant que mon cul s’ouvre, il accentue ses coups de reins virils et puissants comme s’il niquait une femme ! C est l’extase, je me surprends à l encourager en lui disant :
- Oui vas-y défonce moi ! Oui je suis ta meuf ! Prends moi ! Casse moi le cul ! Mets moi ton manche à balai dans la chatte !
Il accentue ses mouvements comme un forcené tout en me branlant vigoureusement …
Puis dans un ultime assaut, il se contracte et me donne un violent coup de rein et expulse sa semence virile dans mes entrailles meurtries mais protégées. A cet instant, sentant son sexe tressaillir en moi en plusieurs saccades, je décharge à mon tour.
Inondé de foutre et de sueur, il s’écroule sur moi et me mordille les lobes des oreilles tout en restant en moi comme pour mieux me féconder. Au bout de quelques secondes, il retire sa queue de mon petit trou de balle béant et vient m’embrasser.
Puis, il se rhabille à la hâte, jette la capote dans les wc après avoir l’avoir remplie d’eau et disparaît sans un mot.
Je me retrouve couché et exténué sur le lit conjugal, le bas ventre gluant de ma semence, me sentant honteux, souillé mais formidablement sailli par mon bel éboueur.
Je retourne au bureau comme sur un nuage. Et le soir venu, j’honore ma femme comme jamais en pensant à mon étalon.
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je t'imagine ainsi Lova! magnifique !!
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