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Mar 19 jun 2012 8 commentaires
Une lope comme moi et surement a remplir aussi par des males virils ..
slpe81 - le 19/06/2012 à 12h21
Mon homme, mon mâle
Enfin, je reconnais le bruit du moteur de sa voiture dans l’allée de cette chic résidence. Cela faisait bientôt deux heures que j’étais avachi sur le canapé, devant les programmes inintéressants de l’après-midi. Mais le voilà enfin. Lui, c’est mon homme, ou plutôt mon mâle.

La cinquantaine à peine entamée, il est encore très séduisant. Sa taille et son aisance naturelle lui donnent un charisme évident qui plaît beaucoup aux femmes… aux hommes, à moi tout du moins, jeune et mignon garçon d’allure fine et d’une grande timidité. Je suis décidément très chanceux. Lui a ce qu’il voulait. Divorcé et fatigué des relations compliquées avec les femmes – ce sont ses mots – il cherchait une relation claire, simple et sans obligation. Dès le début, il a très bien indiqué qu’il ne cherchait qu’une femelle pour s’occuper de lui et le soulager quand il en aurait envie. Ça me convenait… mais déjà depuis quelques temps, je le savais heureux de me savoir chez lui même en son absence.
C’était donc le cas ce lundi, grâce à mon emploi du temps léger d’étudiant.
Comment nous nous sommes connus et nos premières rencontres seront peut-être l’objet d’un autre récit.

Mais déjà la porte s’ouvre. La fatigue de sa journée de travail de cadre sup’ se fait sentir dans ses gestes lorsqu’il pose sacoche et manteau dans l’entrée. Il s’approche et me découvre, comme souvent, en tenue légère, boxer blanc et tee-shirt serré comme il aime. Lui est toujours aussi imposant en costume cravate. À chaque fois, cela me fait de l’effet. Ce soir je le vois particulièrement tendu, le regard dur, il grimace en desserrant son nœud de cravate. Il ne parle pas. Je comprends ce que je dois faire pour le détendre.

Je me lève et m’approche, je profite d’un instant où il s’est légèrement tourné vers la table pour m’accroupir. Quand il se retourne, il semble surpris, il devrait pourtant savoir avec le temps qu’il n’a pas à me réclamer bien longtemps. Je passe la main sur son entrejambe, j’y plonge mon visage, je l’embrasse. Je m’attaque à sa braguette, à son caleçon. Enfin je sors sa queue que j’aime tant, si belle, si fière, si virile. Elle est déjà bien bandée, j’ai dû bien l’exciter avec mes caresses… ou bien est-ce la situation ? Encore quasiment tout habillé, juste la queue sortie, il me voit d’en haut lui avaler sa virilité en le regardant dans les yeux. Car j’aime être sa salope dévouée. J’ai les mains posées sur son pantalon, au niveau de ses cuisses que je devine puissantes, et je m’applique à bien serrer son sexe avec ma grosse bouche. Je le sors et lèche le méat, j’aspire son gland et replonge de plus belle sur sa queue.

—Doucement.

Enfin il dit un mot. Je vais trop vite apparemment. Sa main se pose derrière ma nuque et amène ma bouche très loin vers ses poils pubiens. Il me bloque la tête quelques secondes puis desserre doucement son étreinte et me fait reculer. Il répète l’opération plusieurs fois, puis il sort son membre et me soulève le menton avec son index. Je sais que je dois tirer la langue, mon homme se fait plus mâle encore et il me tape la queue sur le visage, la bouche, la langue.

—Petite salope ! J’aime te voir à genoux. Occupe-toi bien de ma queue !

Il prend mes cheveux et se renfonce profondément dans ma bouche. Je le suce tendrement et, après plusieurs minutes, je sens son plaisir monter, mais il me stoppe et m’intime l’ordre de l’attendre sur le canapé. Il range difficilement son sexe tendu. Apparemment, Monsieur veut faire durer, se vider les couilles en rentrant ne lui suffit pas ce soir.

Il se déshabille pour ne garder que sa chemise. Je le vois aller vers le frigo et s’ouvrir une boisson alcoolisée. Monsieur joue les machos… Et pousse le vice jusqu’à allumer les chaînes info de la télé. Pendant qu’il se vautre sur le canapé, je m’installe comme il le souhaite. Je suis à côté de lui, en travers sur le canapé, à quatre pattes. Je reprends sa queue légèrement débandée en main. Cette fois, je prends mon temps avant de la prendre en bouche. Je savoure sa chaleur dans ma main tout en léchant le gland. Il a beau faire semblant de se concentrer sur le téléviseur, malgré ça, sa queue reprend toute sa vigueur. D’autant plus que depuis quelques secondes, il a baissé mon boxer à mi-cuisse…

Il se contorsionne un peu pour passer un doigt dans ma raie.

—Quel cul ! Tu aimes, tu le tends bien !


Il a sans doute perçu que ce contact m’avait électrisé. J’ai probablement tendu mes fesses à sa rencontre. C’est vrai que j’aimerais qu’il me possède là, tout de suite. Mais je ne le sens pas avoir les mêmes intentions, alors je le pompe, je caresse son ventre, son torse parfaitement poilu, comme j’aime. Désormais il ne cherche plus à se concentrer sur la télé, il a posé sa main gauche dans mes cheveux et appuie fermement sur ma tête pour que je le pompe en profondeur et en vitesse. Il me claque le cul avec son autre main et m’insulte. J’aime quand il joue avec moi.

—Ma petite pute, tu l’aimes ma queue…


Je ne peux que dire des onomatopées, mais oui, j’aime. Il a enfoncé un de ses doigts dans mon cul, puis deux. Désormais il me doigte délibérément.

—Enlève ton tee-shirt et mets-toi à genoux par terre !


L’ordre claque et je m’exécute, je le vois se lever, sa queue en main, il est fier mais clairement plus maître de ses désirs.

Je ne toucherai plus sa queue ce soir… Il me regarde d’un air dominateur et tend ses doigts qui étaient dans mes fesses vers ma bouche.

—Suce mes doigts !

Je plonge mes yeux dans les siens, lui adresse un des regards les plus soumis et avale sa main. Je le vois se branler et je sens qu’il est à bout. J’approche ma bouche mais il me repousse. Il m’appuie sur les épaules, je suis toujours à genoux, mais les fesses sur les talons désormais. Je comprends ce qu’il désire, il veut mon visage plutôt que ma bouche… un classique. Il me regarde comme pour me tester, comme s’il en avait besoin…

—Tu vas être une bonne salope jusqu’au bout !

Il appuie son regard et se branle frénétiquement, ses yeux se ferment légèrement.

—Tu vas me dire ce que tu veux, tu vas demander mon sperme.

Il remet ses doigts pourtant bien nettoyés dans ma bouche. Je les suce.

—Qu’est-ce tu veux ?
—Je veux ton sperme ! Lui ai-je murmuré.
—Tu le veux où ?
—Sur mon visage, lui dis-je en soutenant son regard.

Ma réponse semble avoir eu raison de ses dernières résistances, il pose une main sur ma joue, et se branle de l’autre. Je suis sa chienne, il va se vider sur moi.

Sa queue tressaute et son sperme jaillit avec force. Un premier jet passe en partie au-dessus de ma tête mais le reste s’étale sur ma figure, jusque dans mes cheveux. Son sperme est bouillant. Je l’encourage en gémissant à m’en donner plus. Un souffle puissant de mon mâle viendra précéder d’autres mouvements de sa queue et d’autres giclées qui finiront de tapisser mon visage. Son membre se calme enfin. Mon homme le secoue au-dessus de mon visage, il me montre qu’il s’essuie sur moi.

Vidé, il redevient tendre et m’embrasse sur les cheveux. Pendant qu’il s’occupe de récupérer ses habits, j’en profite pour aller dans la salle de bain. J’ose un regard dans la glace et me vois recouvert de sperme. Ni fier, ni honteux, je me nettoie alors que j’entends mon homme qui s’affaire… en cuisine.
lailatvx - le 19/06/2012 à 12h38
Laila j'adore ton recit..suis Trav aussi
mail = slpe81@hotmail.fr
slpe81 - le 19/06/2012 à 13h04
Je me réveillais, engourdi par cette très mauvaise nuit...
La veille, ma femme Caroline m'avait surpris à la sortie d'un hôtel discret, main dans la main avec ma maîtresse depuis presque 5 ans, au vu et au su de toute la ville (ce que j'ignorais). Le retour à la maison en compagnie de ma seule femme dans la voiture fut insupportable. Caro n'arrêtant pas de hurler et de pleurer.
En rentrant, elle me dit: "C'est fini, je divorce!!"
Je la suppliais de ne rien faire, je tremblais à cette idée, aimant malgré tout éperdument ma femme, sans compter que cela faisait 2ans que j'étais au chômage et que, sans les revenus de mon épouse, il m'aurait été impossible de survivre.
Elle sécha ses larmes en pleurnichant et me dit: " Je pars 24 heures, j'ai besoin de réfléchir."
Et elle partit sans se retourner, me laissant désemparé, terriblement angoissé.

Je passais donc dans la cuisine et prenais mon petit déjeuner.
Le téléphone sonna. C'était ma femme: " C'est moi! J'ai passé la nuit à réfléchir. J'accepte de ne pas divorcer à une seule condition: Tu acceptes dès maintenant de faire ABSOLUMENT TOUT CE QUE JE T'ORDONNERAI DE FAIRE. Réfléchis soigneusement avant de répondre, tu n'auras aucune possibilité de faire machine arrière. Est-ce que tu as bien compris ce que je viens de dire?"
"Oui."
"Alors réfléchis et réponds moi! Si tu dis oui, tu vas souffrir, changer complètement de vie et être aussi humilié que ce que tu m'as fait subir en 10 ans de mariage." Je tremblais de peur mais j'étais coincé et elle le savait.
"Oui." lui dis-je
"Parfait! Bienvenu dans ta nouvelle vie, sale con! A 18 heures, tu prends une douche et tu te mets à poil dans le hall d'entrée, le dos à la porte et les jambes écartées!"
Elle raccroche sans que j'aie le temps de répondre.
Je respecte donc à la lettre ses instructions et quant elle rentra le soir, j'étais nu dans l'entrée. Elle posa la multitude de sacs qu'elle portait et elle tourna autour de moi avec un rictus sur les lèvres.
"Je vais te faire souffrir, te faire payer ces 5 années où tu m'as ridiculisée aux yeux de toute la ville. Côté sexe, tu n'as jamais été un très bon coup. Une petite bite pas très raide et mince et j'ai toujours eu l'impression que je te servais de vide couilles plutôt que de vraie femme. Dorénavant, donc, tu ne t'en serviras plus jamais!!"
Je protestais mais elle coupa court fermement:" Ta gueule! Dorénavant, tu ne parleras que quand je te le dirai! Ne m'appelle plus jamais Caroline, tu n'en as plus le droit! Appelle-moi MAITRESSE. D'autre part, étant donné que tu ne sers à rien et que tu ne ramènes pratiquement rien à la maison, tu vas travailler pour moi, tu seras ma boniche, il faut bien que tu paies ton couvert et ton couchage, branleur! A propos de branler, tu as l'interdiction absolue de te branler! Connard! " Elle éclata de rire.
"Dans un quart d'heure, une femme va venir, tu l'accueilleras comme ça et tu la conduiras à la salle de bain et tu feras tout ce qu'elle te dira. En l'attendant, va nettoyer les chiottes, lopette!" Et elle me mit un grand coup de pied dans le cul. Honteux, je m'exécutai.

Comme annoncé, une femme chargée d'un gros sac vint sonner à la porte. J'ouvris nu et honteux. C'était une belle femme, grande et charpentée, blonde aux cheveux longs, avec des yeux bleus extrêmement clairs. Elle me regarda d'un oeil sévère et me dit: " Alors, c'est toi la petite merde? Putain, c'est vrai que t'as une bite microscopique!! Je vais faire de toi une jolie soubrette, de toute façon une bite comme ça, moi j'appelle ça un clito!"
Elle saisit fermement mon sexe et me demanda de lui montrer où était la salle de bain et m'y traîna durement par la queue. Une fois arrivés, elle me demanda de lui passer la grande cuvette et m'ordonna de me mettre à quatre pattes et d'écarter les jambes. Elle prit dans son sac une paire de gants en caoutchouc, les enfila et prit également une grande poche prolongée d'un tuyau et d'une canule. Elle la remplit d'eau, la suspendit à la douche, mit la bassine entre mes cuisses, se pencha et me dit doucement:
"Je vais laver ton cul de pétasse, ensuite je vais te transformer en femme, vu que t'es mince tu feras une très jolie pute, tu verras!!"
"Mais enfin Madame... " Je n'eus pas le temps de continuer, un fulgurant coup de pied dans le ventre m'envoya valdinguer contre le mur...
"Espèce de conne, t'as toujours pas compris que t'es qu'une Merde, ferme ta gueule!!"
Ayant du mal à récupérer mon souffle et ayant trop peur de recevoir d'autres coups, je m'exécutai.
Elle se pencha et enfonça sans prévenir dans mon anus la canule qui était au bout du tuyau. Je poussai un cri, ce qui la fit éclater de rire. Elle ouvrit une sorte de robinet à la base de la poche et je sentis progressivement l'eau remplir mon ventre, ce qui quand la poche fut vide, devint douloureux, je sentais une très forte envie de chier. La femme me dit: "Garde cette eau encore dix minutes et seulement alors, tu te soulageras aux toilettes."
Elle me refit encore deux lavements comme ceci, prit dans son sac un ancien rasoir et me rasa entièrement le corps, tête comprise. Ensuite, elle me mit beaucoup de vaseline dans le cul et m'en tartina la raie.
"Et maintenant, on va t'habiller pour ton dépucelage!"
Elle me tendit une paire de bas de soie noire que je dus enfiler, suivi d'un délicat porte-jarretelles de même couleur, auquel une fois mis, je fixais les bas. Mine de rien ça m’excitait considérablement et je fus pris d'une violente érection.
"Cache ton clito là-dedans!"
Elle me tendit une ravissante culotte blanche toute en dentelle de soie que j'enfilai avec plaisir, suivie d'un soutif dans lequel elle inséra des poches de silicone, qui me donnèrent une poitrine très avantageuse. Je dus alors enfiler une robe très courte noire avec, par-dessus, un petit tablier blanc éclatant. Elle me fit alors asseoir et entreprit de me maquiller totalement le visage en me donnant un maximum de détail sur ce qu'il conviendrait de faire, puisque dans l'avenir, je devrais me maquiller plusieurs fois par jour. Quand elle eut fini par du rouge à lèvres, elle saisit dans son sac une magnifique perruque noire et longue et la fixa sur ma tête devenue chauve. Elle saisit un collier de cuir muni d’une laissse dans son sac et le fixa à mon cou.
"La touche finale, sale pédé! Penche toi en avant et écarte un peu les jambes!"
Ce que je fis. Elle releva ma robe, baissa ma culotte et enfonça quelque chose dans mon cul lubrifié, ce qui me fit mal.
Elle remonta ma petite culotte, remit ma robe en place et me dit:
"Ce plug que j'ai mis dans ton gros cul est le signe définitif de ton appartenance en tant qu'esclave à ta femme qui est maintenant et pour toujours ta Maîtresse. Tu devras constamment le porter, sauf quand tu te fais baiser. Quand tu iras chier, tu auras pour obligation de te faire un lavement. Quand tu iras pisser, tu te laveras le clito soigneusement. Avant de sortir des chiottes, tu te parfumeras le cul et le clito. Si tu sens la transpiration, tu prends immédiatement une douche. Tu dois toujours sentir bon. N'oublie pas que tu ne seras plus jamais un homme, tu es une femme, un objet sexuel, tu vas faire jouir beaucoup de gens et le pire que tu ignores, c'est que toi aussi tu vas beaucoup jouir!!" Elle éclata de rire.
"Maintenant ferme les yeux!" Ce que je fis. Elle me traîna sur quelque mètres avec la laisse, me fit arrêter et me chuchota à l'oreille: "Ouvre les yeux et dis-moi comment tu te trouves!"
Je fus subjugué par le spectacle. J'avais dans la glace l'image d'une femme terriblement féminine, une belle poitrine, un petit cul bien cambré à faire bander n'importe qui, un visage très fin et mignon, des lèvres presque pulpeuses, je fus à nouveau pris d'une violente érection.
"Alors?"
"Magnifique!" fut la seule chose que je pus dire...
Elle sourit, saisit ma laisse et m'entraînas au rez-de-chaussée.
Ma femme nous attendait, très belle, juchée sur des talons hauts, drapée dans un grand tee-shirt qui laissait deviner qu'elle ne portait pas de sous-vêtements. Elle embrassa goulûment ma préparatrice et lui dit: "Je te remercie, ma nouvelle pute est vraiment très belle, quelle salope!"
Et elle lui tendit une liasse de billets.
Celle-ci la remercia et lui dit: "Je pense que tu avais raison, elle a toujours eu une nature de soumise, et son dépucelage multiple de ce soir va être un régal!" Elles rirent et Caro la raccompagna dans l'entrée.
Elle revint et en s'asseyant confortablement me dit: "Ce soir petite pute, je vais me régaler, nous attendons du monde! Sept femmes vont bientôt arriver, elles ont toutes eu des problèmes avec leurs maris ou compagnons, elles vont donc adorer cette soirée! Je ne t'aime plus, mais je te garde pour me rembourser de toutes ces années d'humiliation où tu m'as trompée avec ta salope, toutes ces années où tout le monde s'est bien foutu de ma gueule sans que je n'en sache rien.
Je te promets que tu vas en sentir le poids!!


A peine avait-elle fini de parler que l'on entendit la sonnerie de l'entrée.
"Lève-toi petite conne et tiens-toi droite et ne bouge plus, je reviens!"
Elle alla ouvrir et j'entendis plusieurs voix féminines.
Elles rentrèrent dans le salon et éclatèrent de rire en me regardant.
"Je vous présente MA petite merde, ma salope, ma lopette, mon esclave pour toujours, ma petite gouine, ma jardinière, ma cuisinière, ma vide-couilles, ma pétasse, mon papier-cul, ma chienne, c'est une connasse qui m'a trompé pendant 5 ans avec une grosse pute!! Asseyez-vous, Mesdames! Soyez le
lailatvx - le 19/06/2012 à 14h13
J'adore ce récit!!!!!!!!!!!!!!! incroyablement excitant!!!!!!
steve - le 27/06/2012 à 00h58
Bonjour

Je viens de découvrir ce que je suis vraiment. Un sous homme. Je n’avais pas conscience de cela jusqu'à présent. Je savais que j’étais soumis à ma femme mais je pensais que je faisais cela par amour mais je réalise que c’est aussi parce que j’ai une petite bite. Sans réellement donner dans la domination, ma femme m’a fait glisser vers l’état de carpette. Tout commença le jour où elle me dit que j’avais un zizi de petit garçon, lui demandant pourquoi ? Elle répondit qu’il était tout petit. Quelques jours plus tard, elle me demanda de m’épiler le pubis, devant mon refus elle se fâcha très fort. Je lui demandais alors pourquoi elle voulait m’épiler, elle me dit alors que, vu la taille de mon pénis, il ne méritait pas d’avoir des poils, seuls les vrais hommes pouvaient avoir des poils et que si je refusais, nous ne ferions plus l’amour. Devant une telle menace, je finis par accepter. Elle se mit alors à préparer la cire afin de m’épiler à l’orientale. Ce fut pour moi un véritable supplice. J’avais la peau brûlante et arrachée sur certains endroits de mes testicules. J’étais honteux de me voir dans cet état et furieux d’avoir accepté. Mais le pire était à venir.
Trois jours plus tard, elle voulut que nous allions sur une plage où le naturisme était accepté. Je lui dis que c’était une drôle d’idée mais elle insista. Arrivés sur la plage, je m’aperçus qu’elle n’avait pas amené mon maillot, je le lui fis remarquer, elle me répondit que c’était normal. Vu les ridicules petites choses que j’avais entre les jambes, ça ne devrait poser aucun problème sur cette plage. Il était clair qu’elle cherchait à m’humilier. Ce qu’elle ne se priva pas de faire, m’obligeant a être en permanence sur le dos, mes parties exposée a tous les regards. Elle me fit traverser la plage plusieurs fois pour aller lui chercher à boire. Sentant les regards narquois se porter sur mes petites choses, le rouge me montait aux joues à chaque traversée. Chaque fois qu’un homme bien membré passait prés de nous, elle ne manquait pas de me le faire remarquer en me disant : regarde un vrai homme ; je ne la reconnaissais pas et je vécus une véritable journée d’humiliation.
Le soir, elle voulut faire l’amour dans des positions inadaptées à mes mensurations, pour me dire que mon truc était trop petit. Il en fut ainsi pendant six mois jusqu’au jour où elle refusa de me faire l’amour. Et elle employa la méthode la plus brutale pour me le faire comprendre. Alors qu’un soir je m’approchais d’elle en érection, elle empoigna mes petites couilles dans une de ses mains et me les écrasa violemment. Alors que la douleur dévorait mes petites choses, elle fit de même avec mon gland, déclanchant une éjaculation que je ne pus retenir. Elle me dit en écrasant mes testicules de plus en plus fort qu’elle ne voulait plus me voir ainsi, que c’est elle seule qui déciderait quand nous ferions l’amour, qu’elle n’accepterait que les érections provoquées par elle. Elle serra mes couilles une dernière fois en tirant violemment dessus, ce qui me fit me tordre de douleur et tomber par terre. « J’espère que tu as compris » me dit-elle en tournant les talons. Apres quelque pas, elle fit demi tour et revint vers moi, posa son pied sur mes testicules et me dit tout en les écrasant « maintenant, tu vas nettoyer tes cochonneries ». Honteux je m’exécutais puis partis me coucher, le bas ventre ravagé par la douleur.
A partir de ce jour, elle décida de me mettre à l’abstinence sur des cycles de plus en plus longs en réprimant toutes velléités d’érection de ma part par un écrasement de mes testicules en règle, même mes érections matinales étaient châtiées. D’humiliations en frustrations, je fini par être impuissant après un an. Une thérapie chez une psycho sexologue m’apprit que j’avais été châtré psychologiquement et que la seule solution était de quitter ma femme. Chose à laquelle je ne pus me résoudre car j’aimais beaucoup mon épouse malgré tout. Après en avoir parlé avec ma femme, elle accepta de me garder si j’étais gentil, ce qui voulait dire, me plier à tous ses désirs et tout accepter, c’était à prendre ou à laisser. J’acceptais ses conditions par amour du moins, c’est ce que je pensais.
Quelques semaines plus tard, j’avais une douleur persistantes aux testicules due à une correction un peu trop forte, elle m’emmena chez sa doctoresse (une amie à elle) pour me faire ausculter. Lorsque celle-ci me demanda de me déshabiller, je fus pris d’une sorte de panique, ma pauvre petite bite qui n’est déjà pas bien grosse se ratatina encore plus. Lorsque la doctoresse vit mes petites choses, elle regarda ma femme du coin de l’œil en disant : hé bien ma pauvre ! Tout en palpant mes testicules, elle demanda alors a ma femme depuis combien de temps je n’avais pas fait l’amour.
Ma femme répondit : depuis plus d’un an
La doctoresse dit que c’était beaucoup trop long, que ce n’était pas bon
Ma femme répliqua que j’étais impuissant et qu’elle m’avait castré psychologiquement.
Pourquoi ? demanda la doctoresse
Pour ne pas qu’il me casse les pieds trop souvent et pour ne pas qu’il me trompe, dit ma femme.

J’étais honteux d’entendre ces deux femmes discuter sur mon sort de pauvre male impuissant et sous- dimensionné, je ne me sentais plus vraiment un homme.
La doctoresse demanda à ma femme si cela ne lui manquait pas de ne pas faire l’amour.
Ma femme répondit alors que oui mais que mon petit zizi ne pouvait la satisfaire.
Je comprends, dit cyniquement la doctoresse en pressant mon testicule douloureux.
Je senti le vertige me gagner.
- Comment fais-tu ? Dit alors la doctoresse à ma femme.
Ma femme répondit que, de temps en temps, elle trouvait un vrai homme pour satisfaire ses besoins sexuels.
La doctoresse pressa de nouveau mon testicule meurtri en me regardant de façon hautaine au moment où je venais d’apprendre que j’étais cocu.
- Alors, ce n’est pas un problème, tu peux le laisser comme ça. Tu l’as castré, tu as réussi ton coup, maintenant tu es tranquille.
Ma femme lui avoua que, de temps en temps, elle aimerait me faire bander.
Pour quoi faire, dit la doctoresse, puisqu’il ne peut te satisfaire.
Pour le voir me désirer, répondit ma femme.
Dubitative, la doctoresse dit en regardant mes pauvres petites choses entre ses doigts fins « pour les testicules ça ne semble pas très grave, cela devrait passer, pour le reste je vais vous donner du viagra, vous verrez ce que cela donne.. »

Le soir, ma femme m’administra une petite pilule bleue et, après un bon moment de stimulations, je parvins à obtenir une érection de ma petite queue. Erection qu’elle ne réprima pas pour une fois, elle m’imposa de rester nu ainsi en la regardant se préparer au lit. Tout excité, j’espérais lui faire l’amour. Elle fit durer le plaisir jusqu'à la fin de mon érection. Lorsqu’elle vit que ma queue était redevenue flasque, elle me dit : chéri, ce soir je vais te faire un cadeau surprise, je lui dis merci. Elle s’approcha fièrement de moi et me dit :
-je t’offre mon corps, soulage toi en lui.
Je maudis alors cette bite qui était devenue flasque et molle.
-Alors chéri, qu’attends-tu pour me pénétrer, dit ma femme en feignant de ne pas voir mon absence d’érection.
Elle prit un air surpris pour me dire : Ho pauvre chéri, c’est déjà fini, tu n’as pas de chance, la prochaine fois j’essaierai d’aller plus vite.
Je me sentis vraiment humilié face à cette superbe femme que j’étais incapable de satisfaire.
Elle me demanda de me mettre a genoux puis me dit : branle-toi, je veux te voir branler ta queue molle et vider toi-même tes petites couilles, ajoutant, je ne peux le faire moi-même, je n’aime que les queue bien dures. Je m’exécutais à me soulager moi-même. Vas-y, dit-elle, je veux voir ta substance couler lamentablement de ton petit zizi tout mou.

Depuis ce jour, j’ai accepté ma condition de soumis et de cocu volontaire sans en être conscient. Tout simplement parce que je ne suis rien d’autre qu’une petite bite molle avec deux ridicules petites couilles destiné a être soumis, un sous homme fait pour servir les femmes sans mériter d’en jouir. Je suis maintenant convaincu que je dois accepter mon état et remercier ma femme de m’accepter auprès d’elle avec mon infirmité. Et de tout faire pour la rendre heureuse. Je comprends aussi pourquoi ma femme me parle d’eunuques en me vantant les mérites d’une telle solution qui élimine, dit-elle, les tensions du corps des hommes et leur permet de vivre plus longtemps. Me faisant remarquer que, dans mon cas, je ne perdrais finalement pas grand-chose, vu la taille ridicule de mes toutes petites couilles et que j’en serai sûrement plus heureux, je n’aurai plus cette frustration provoquée par mon impuissance. En fait, elle commence à me préparer à une castration définitive et non plus psychologique. Je crains qu’elle y parvienne tant je l’aime, pardon tant je lui suis si soumis et dévoué, en plus elle est très persuasive. Lorsque je regard mes pauvres petites choses, je ne suis pas loin de penser qu’elle a sûrement raison.
lailatvx - le 01/07/2012 à 09h42

voilà un bon soumis!

Selena
J'adore lire tes récits et ton éducation vers une soumission totale, soumis 16!

As-tu un blog ou un mail???

Steve.
stevecollanthomme@yahoo.fr
steve - le 02/07/2012 à 09h54
lailatvx@yahoo.fr
lailatvx - le 03/07/2012 à 04h35