sexe insolite et inavouable
A la fin du bukkake Graziella est couverte de foutre ,elle oblige son amant a lui bouffer la chatte pleine de sperme !
Pas écœuré par sa maitresse gluante le denier amant baise une Graziella, bien lubrifiée au foutre !
Ven 9 sep 2011
3 commentaires
quel sens du récit !
Selena
humm super, j'aime moi aussi nettoyer tout ce qui est recouvert de foutre
vinci - le 03/10/2011 à 21h05
quoi de plus exitant qu'une salope couverte du foutre qu'elle a récolté!
Selena
Oui, ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
lailatvx - le 04/10/2011 à 11h47
Mes potes savent que je suis cocu, ils ont tous baisé ma femme mais pas devant moi.
Ma femme Nadia fait 1m68, elle a 24 ans, mince, brune, avec de très gros seins (100 bonnet D), et c’est ça qui met tous les mecs en rut : deux seins énormes, droits comme des obus, qu’elle met en valeur chaque fois qu’elle le peut. Elle m’aime bien aussi, elle savait avant notre mariage que je suis nul au lit, mais il y a beaucoup d’affection entre nous, et je n’ai jamais fait la gueule quand des mecs la draguent devant moi. En général les vrais machos sentent immédiatement que la voie est libre et que je ne suis pas un obstacle sérieux pour eux s’ils ont envie de la grimper ; ça se voit dans leur regard qu’ils le comprennent immédiatement, ça les fait toujours sourire. Et je pense que Nadia apprécie aussi mon attitude.
J’avais pas mal hésité par rapport à Karim ; 25 ans, beau gosse, grand (1m85) et large d’épaules, sportif, gros baiseur, avec une queue de 23 cm super large (j’avais vu les photos …) et une vraie mentalité de macho dominant, il me parlait toujours avec mépris sur le net, me disait qu’il allait niquer ma femme dans mon lit, ça m’excitait mais j’avais peur de la réaction de Nadia si je lui présentais un mec moi-même, qu’elle se vexe et me quitte. Un jour il m’a appelé, j’étais au boulot, il m’a traité de mytho, qu’il en avait marre d’attendre, alors j’ai craqué, je lui ai dit de venir la semaine suivante dormir chez nous, que je le présenterai comme un ami qui vient passer quelques jours. On fixe la date, et Karim me force à lui donner le numéro de portable de ma femme, pour l’appeler au cas où j’annule au dernier moment, pour tout lui dire. En plus, je lui donne le vrai numéro, pour bien me sentir en son pouvoir. Le soir, j’explique à Nadia que mon ami Karim vient passer une nuit à Rabat et qu’on va l’héberger. Je lui glisse que c’est un gros macho et j’invente que le surnom qu’il a dans la boîte à Yahoo c’est « bite de cheval » ; il n’en faut pas plus pour qu’elle se mette à fantasmer en douce …
Karim arrive le jour convenu, en début de soirée. Je lui avais dit que je cherchais à être cocu et surtout à me faire humilier, à ce qu’enfin un vrai mec me rabaisse comme je le mérite, et à ce que ma situation de cocu soit enfin connue d’un maximum de personnes. Karim m’avait répondu que ça n’est pas à moi de fixer les conditions, que je dois fermer ma gueule, mais qu’il avait lui aussi super envie aussi de m’humilier en public.
On arrive à l’appart, je présente Karim à mon épouse Nadia, il sourit de toutes ses dents, apparemment elle lui plaît à mort. Elle aussi a l’air émoustillée devant ce beau mâle (même si elle ne sait pas que je l’ai invité dans un but précis), et visiblement elle sent tout de suite que c’est un homme à femmes. Elle est habillée normalement, jupe mi-cuisses et tee-shirt clair, et Karim est en jean et en tee-shirt (un tee-shirt qui laisse bien voir qu’il a un super torse de sportif et des épaules larges, pas comme moi). D’entrée de jeu, Karim fait comme s’il était chez lui, il s’installe sur le canapé sans attendre que je l’y invite, il a l’air hyper à l’aise, il ne quitte pas ma femme des yeux, il la caresse du regard, ses seins, ses jambes, ses cuisses, tout y passe, et il n’arrête pas de lui sourire. Je lui sers un verre, on s’assied, et on commence à discuter, il me répond à peine, il parle surtout avec elle, lui pose des questions sur son boulot, ce qu’elle aime etc … A plusieurs reprises, il m’envoie des petites vannes, il laisse entendre qu’il me trouve un peu nul, à un moment il me traite de maladroit parce que je fais tomber un verre.
Puis on passe à table et pendant le repas, ça continue, je parle à peine, lui fait comme si je n’étais pas là, il la drague ouvertement devant moi. Alors que penser de cette situation qui, avant, était excitante pour moi, en fait la vivre en vrai est très humiliant, et j’ai presque envie de tout arrêter, mais c’est trop tard, de toute façon il me tient. A chaque fois que ma femme se lève pour aller à la cuisine, Karim la suit pour l’aider ; la troisième fois qu’il la suit, ils restent un moment (5 à 10 minutes) tous les deux dans la cuisine, et je n’entends aucune parole (Karim m’a raconté ensuite que c’est à ce moment-là qu’il l’a embrassée et caressée, et qu’elle s’est laissée faire après s’être très mollement défendue). Quand ils reviennent dans le salon, Karim a compris qu’il allait se taper ma femme sans problème.
Après le dessert, on reste un moment sur le canapé, il continue de la draguer devant moi, à un moment il lui dit même « tu me plais vraiment, tu sais », elle sourit, je ferme ma gueule, de temps en temps il me lance des regards à la fois méprisants et narquois, mon attitude le fait bien marrer. Moi je fais un peu la gueule, quand même, bien que tout ça soit organisé avec moi au départ. Puis, voulant les laisser seuls, je leur dis que je suis fatigué, même s’il n’est que 21 heures, que je vais me coucher. Karim me dit bonsoir avec un grand sourire aux lèvres, Nadia me dit bonsoir aussi. J’en oublie de dire à Karim que je lui ai préparé un lit dans la chambre d’amis. Après m’être mis au lit, je me mets à gamberger, en me disant que je suis en train de faire une très grosse connerie, j’ai l’impression de ne plus arriver à réfléchir, je perds un peu la tête. Au bout d’un quart d’heure, je me relève et je reviens doucement vers le salon, pieds nus, le cœur battant, espérant que Karim n’arrive pas à ses fins. Bien sûr, la porte est poussée, et par l’entrebâillement je vois Karim en jean, torse nu, et ma femme déjà à califourchon sur ses genoux, elle n’a plus sa jupe. Il lui caresse les cuisses en lui souriant, il regarde son tee-shirt au niveau de ses seins, et tout d’un coup elle enlève son tee-shirt, il se retrouve avec ses deux seins dans le soutien-gorge sous ses yeux, il crie « putain, t’es bonne !! » il lui arrache presque son soutien-gorge et saisit un sein dans une main et se met à lécher l’autre sein, à le dévorer presque, puis il passe sur l’autre sein, il est vraiment en rut. Après quelques minutes, il dit « j’en peux plus, y’a ma grosse queue qui me fait mal ! » et il l’attrape par la taille, la couche sur le canapé, lui écarte les cuisses, relève sa jupe et lui vire sa culotte, le tout en quelques secondes, et il plonge sa tête entre ses cuisses et il sort sa langue et se met à lui lécher la chatte. En même temps, elle se met à se malaxer ses gros seins et lui, pour ne pas manquer ce spectacle, lève les yeux sur ses seins tout en lui broutant le minou. C’est à ce moment-là qu’il m’aperçoit dans l’entrebâillement de la porte ; il continue alors à lui laper la chatte, tout en posant ses yeux alternativement sur ses deux seins qu’elle caresse, et sur moi. Quand il me regarde, je le vois sourire. A un moment, ma femme gémit « il ne faut pas faire trop de bruit pour pas réveiller mon mari… » Et là ça fait franchement rigoler Karim, il lui dit « t’inquiète pas, ma belle » en me regardant et il se remet à lui bouffer la chatte comme un affamé, en lui malaxant les cuisses et les fesses.
Tout d’un coup, il arrête de la lécher, il se met à genoux sur le canapé, entre les cuisses de ma femme, et il commence à ouvrir son jean qui dissimule mal une énorme bosse sous la toile tendue à craquer ; Nadia pousse un petit gémissement, devinant ce qu’il va lui arriver. Karim sort une bite monstrueuse, il regarde ma femme dans les yeux, il me regarde ; elle n’a toujours pas compris que je suis derrière elle. Il s’installe bien entre ses cuisses, prend sa grosse queue dans sa main et la pose entre les lèvres de la chatte de ma femme ; puis il commence à la pénétrer, assez fermement, pendant qu’elle se remet à gémir, sentant ce gourdin qui lui entre dans le vagin. Il lui dit « elle est bonne, ta chatte, salope », et il relève de nouveau la tête pour me regarder en souriant. Il a l’air très fier de lui, ce jeune salaud, et il continue à la limer, en donnant de grands coups de reins entre ses cuisses. Il se couche sur elle, je vois son cul qui monte et qui descend. Il a un visage très concentré, il la pilonne, il fait son boulot de queutard qui lime une chatte de femme mariée. Puis il se met à pilonner plus vite, il accélère le rythme, ma femme se met à haleter, et là il ralentit le mouvement, recommence à donner de grands coups de queue au fond de son vagin, il regarde ses seins, lui caresse les hanches et les cuisses, lui roule une pelle, lui lèche le cou, tout en continuant à